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Des médecins d’Angleterre demandent le droit de tuer les nouveaux-nés handicapés

le jeudi, 01 mars 2007. Dans Avortement

Article suivant a été publié par UNION   DES   NATIONS   DE   L'EUROPE   CHRETIENNE   (UNEC), le 8 janvier 2007. L'Adresse : « RU », le service de presse de l'UNEC, BP 70114, F-95210 Saint-Gratien, France. T/F +33-134120268, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.,

ANGLETERRE :  Le  Conseil  des   Médecins  Obstétriques  Royal recommande aux parlementaires de décriminaliser la mise à mort de tout nouveau-né  trisomique ou  fortement handicapé.  « Où est la différence »,  demandent  avec  beaucoup de  logique des médecins (notamment le 'Conseil Bioéthique   de  Nuffield'),  « entre l'avortement, quelques minutes avant l'accouchement, et la mise à mort du bébé quelques minutes après la naissance ? » La logique est implacable et viendra à sa fin.

Une fois l'IVG admise, toutes les portes  sont  enfoncées, le  barrage est  percé, le commandement divin « Tu ne tueras pas » est invalidé, l'avalanche se déclenche. Naturellement ces assassins embellissent leurs sinistres desseins de beaux sentiments : « Il ne s'agit pas de tuer ces enfants, nous allons simplement les laisser mourir, plutôt que de leur fournir l'assistance médicale appropriée ».  En plus,  pour minimiser les faits,  ils  ne  parlent  que  de  bébés  « nés à  22 semaines de grossesse au maximum », sachant que cette  brèche dans l'interdit conduira implacablement à la libéralisation de l'assassinat pour TOUS les bébés nés avec un handicap,  voire plus  tard pour tous les handicapés,  jeunes  et adultes.  Ils ont  le culot de demander au législateur de bien vouloir préciser que les médecins auront ce  droit même  contre l'avis  des parents.

Ce sera tout simplement la fin des bébés handicapés, par l'euthanasie « passive et  même  active »  des  enfants  nés  qui  nécessitent  le  plus d'attention  et  d'amour.  On croit  rêver en  lisant qu'ils prétendent,  béatement,  que  cette  libéralisation conduirait à moins d'avortements, car la femme  pourrait, en  cas de trisomie diagnostiquée de  son bébé, faire provoquer une fausse couche, beaucoup  moins dangereuse  qu'un avortement, et laisser mourir « naturellement » son bébé à l'extérieur, « sans  problème ».

Et les bons  sentiments  pseudo-humains  couronnent encore  une fois le tout :  cette  libéralisation enlèverait  « une charge financière, sociale  et  émotionnelle  considérable aux  parents ». Ah, merci Messieurs les faux apôtres  ! Nous  aurions envie  de leur crier : allez au diable  ! Notre groupe UNEC a déjà initié, il y a 11 ans, l'action SOS MAMANS, ne faudrait-il pas aussi fonder  un jour un groupe de sauveteurs 'SOS MEDECINS ASSASSINS ' ? Il y a du pain sur la planche des Chrétiens et autres Bons Samaritains... - ru (cf. LifeNews.com Editor, 15 nov. 2006 ; SOSM 20.11.06)

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