Au nom de la démocratie, imposer la dictature absolue
Abolir le papier-monnaie et le remplacer par la puce électronique
En vue d'organiser un système hermétique de taxation
Seul le gouvernement fédéral a le droit de changer le système monétaire
Le Conseil ne se soucie pas des pauvres, des faillites, du chômage
Robert Bourgeois, le dictateur (directeur) général de la ville de Lachine, municipalité de Montréal métropolitain, a présenté à son Conseil municipal un rapport demandant d'abolir obligatoirement le papier-monnaie pour le remplacer obligatoirement par le système de paiements par la puce électronique, sur lequel la Haute Finance pourra avoir un contrôle parfait.
Le journal "La Presse" a publié de larges extraits de ce rapport, le 9 juin 1995, sous la rubrique "Opinions". Le titre en dit long : "Évasion fiscale et travail au « noir » : croisade de Lachine contre la monnaie." Le maire et le Conseil de Lachine, dévoués serviteurs du système d'argent-dette des banquiers, ont adopté à l'unanimité ce rapport sadique de Bourgeois.
Monsieur Bourgeois est un autre fidèle perroquet des magnats de la Haute Finance. Au nom de la démocratie, il veut nous faire enchaîner par la pire dictature de tous les temps : la dictature absolue sur tous les individus et sur tous les peuples par les paiements électroniques contrôlés par les banquiers. Il veut être certain que plus personne n'ait le moyen de se défendre contre les taxes et les impôts actuels qui fraudent le peuple et le privent de tous ses biens au bénéfice des banquiers. Voici ce que dit Bourgeois :
"Un des principes directeurs principaux de la démocratie est certainement de l'équité fiscale. Il découle de cette valeur l'égalité entre tous les citoyens, égalité (NDLR : Égalité de se faire plumer) qui vise à appliquer le système démocratique. Il s'agit d'un pacte que fait la population avec son gouvernement, pacte selon lequel celui-ci édictera un certain nombre de règles et de mécanismes de taxation et d'imposition grâce auxquels chacun des citoyens sera raisonnablement mis à contribution aux frais de gestion de l'entreprise publique."
Pour Bourgeois, la démocratie veut dire : système de taxes. Dans mon dictionnaire Larousse, la démocratie est définie autrement : "Gouvernement ou le peuple exerce la souveraineté." Le mot démocratie ne veut pas dire : peuple qui donne tous les pouvoirs aux gouvernements de vider son porte-monnaie par des taxes qui ne donnent aucun service.
Les Pèlerins de saint Michel font du porte en porte et demandent aux gens de signer une pétition contre la TPS et la TVQ et tout le monde signe à deux mains. M. Bourgeois peut être assuré que le peuple du Canada et le peuple du Québec n'ont pas élu des gouvernements pour se faire imposer des taxes et des impôts qui ne servent qu'à payer des intérêts aux banquiers.
Dans son rapport, M. Bourgeois se plaint qu'avec notre système de papier-monnaie, « l'évasion fiscale se pratique comme le sport national ». Il se plaint aussi du non-paiement des taxes de vente sur des transactions « réalisées au comptant ».
M. Bourgeois dit : "Le « billet de banque » est un instrument de commerce « archaïque » et révolu. C'est pourtant à ce système monétaire « au comptant » que nous devons l'évasion fiscale," dit-il encore.
Le papier-monnaie est de l'argent libre, que le citoyen peut utiliser librement, sans que le gouvernement se mette le nez dans les transactions. C'est à peu près tout ce qui reste de démocratique aux citoyens du Canada et des autres pays. Les gouvernements du Canada et des autres pays n'ont pas besoin de l'argent des taxes pour effectuer les travaux publics. Ils n'ont qu'à créer l'argent selon les richesses du pays comme le leur donne le droit et le devoir leur rôle de gouvernement. La Constitution canadienne donne droit uniquement au gouvernement fédéral de créer l'argent, elle ne donne pas ce droit aux banques. La fraude est du côté des banques, non pas du côté du peuple, M. Bourgeois.
Voici la solution que propose M. Bourgeois pour enchaîner les citoyens : "Il suffirait de mobiliser l'opinion publique en faveur d'un nouveau système monétaire pour qu'une volonté politique s'affirme au point qu'elle adopte une législation d'abord au pays, voire dans tous les pays, dont le contenu serait : (lisez bien ce que serait la démocratie du système Bourgeois) : "L'abolition du « billet de banque » (le numéraire)....
L'interdiction de la possession des espèces numéraires tant touristiques qu'étrangères ; l'interdiction de tout instrument de troc ; la restriction des modes de paiement au chèque, à la carte de paiement et à la carte de crédit ; l'instauration d'un mode de paiement des sommes menues par cartes à puce, cartes magnétiques ou quelque autre instrument du genre ; l'imposition de la diffusion d'un appareil informatique receveur de paiement à tous les commerçants, à tous les dispensateurs de services età toutes les industries susceptibles de recevoir un paiement dans le cours de ses affaires ; l'imposition aux institutions financières de la responsabilité de la gestion d'un seul système de paiement ; l'imposition de règles de diversions immédiates des taxes aux crédits des gouvernements par le système bancaire ; l'imposition de normes aux institutions bancaires à l'effet de la comptabilisation de toutes les transactions de tous les individus, et enfin, l'élaboration d'un nouveau régime fiscal recalibré pour tenir compte du fait que, désormais, toute l'activité économique serait touchée."
"Il ne suffirait que de quelques mois pour procéder à cette transformation — qui est techniquement possible du système monétaire et à la mise en place d'un nouveau régime fiscal dont le contrôle serait facilement hermétique.
"Il deviendrait même aussi possible de transformer la fiscalité des entreprises de façon à effectuer les prélèvements davantage au niveau de leur chiffre d'affaires réalisé sur un territoire donné que sur les profits dont le contrôle est très aléatoire."
Interdiction, interdiction, interdiction. hermétique, contrôle, contrôle, pour pouvoir taxer autant que possible sans que personne ne puisse protester et y échapper, tout cela au nom de l'équité fiscale et de la démocratie.
Nous savons fort bien que les entreprises qui ont à payer des taxes et des impôts, incluent ces taxes et ces impôts dans leurs prix, et qu'en définitive ce sont toujours les travailleurs et les consommateurs qui paient 3 fois le prix d'une marchandise à cause des taxes du gouvernement et des intérêts des banquiers.
Un grand défenseur de la démocratie que ce Bourgeois ! Avec ses « impositions » il veut en arriver au contrôle absolu de tous les individus sur la planète par son système de paiements à la micro-puce, sous la direction totale des banquiers internationaux et d'un gouvernement mondial.
Bourgeois, ainsi que le maire et les conseillers veulent faire de Lachine une ville pilote avec les paiements à la micro-puce. Ils oublient qu'ils sont dans le Canada et qu'ils sont soumis à la loi fédérale sur la monnaie. La Constitution du Canada donne droit seulement au gouvernement fédéral de légiférer en matière de monnaie. Lachine n'a aucun droit en ce domaine, ce serait donc inconstitutionnel d'imposer à Lachine une nouvelle monnaie.
Un grand défenseur de la démocratie que ce Bourgeois qui veut enlever au peuple, l'argent libre de papier et lui imposer une monnaie à la puce électronique qui permettra aux banquiers et à leurs serviteurs, les gouvernements, de connaître toutes les allées et venues de chaque citoyen pour le motif de taxer toujours plus. Taxer, c'est la raison d'être des gouvernements selon la philosophie de Bourgeois.
Le peuple s'est exprimé démocratiquement contre la TPS et la TVQ. Il n'en voulait pas. C'est la cause de la défaite foudroyante de Mulroney aux élections.
Si le peuple ne paie pas ces taxes, c'est une manière démocratique de démontrer aux gouvernements qu'il n'en veut pas, ce n'est pas parce que les citoyens ont la conscience polluée, mais parce qu'ils en ont plein le dos de se faire voler par des taxes qui ne sont pas utilisées pour les travaux publics, mais pour payer 54 milliards d'intérêt sur une dette nationale qui se multiplie par elle-même par les intérêts composés. Le mal est là, M. Bourgeois. Et pour payer cette dette qui se fabrique toute seule, on prend l'argent, par les taxes et les impôts, des pauvres ouvriers qui ont travaillé à la sueur de leur front pour gagner cet argent. C'est contre ces taxes indues que le peuple proteste. Et vous voulez, M. Bourgeois, lui enlever le seul moyen qui lui reste pour se défendre un peu ?
Si vous ne comprenez pas cela, monsieur Bourgeois, c'est que, pour employer vos propres termes, non seulement vous avez la conscience polluée, mais aussi l'intelligence polluée. Nous croyons qu'il est beaucoup plus immoral d'enlever le pain de la bouche des travailleurs par des taxes, que de ne pas payer une dette indue aux banquiers.
M. Bourgeois se soucie bien gros du paiement des taxes spoliatrices, mais pas du tout de la misère des pauvres, des chômeurs, de la difficulté à arriver des entreprises, peu importe si un grand nombre d'entre elles ont été acculées à la faillite par la TPS, la TVQ, par les impôts, et par les intérêts trop élevés des banquiers. Ce que Bourgeois veut à tout prix c'est le contrôle absolu par un gouvernement mondial sur tous les individus de tous les peuples par la puce électronique. Et comme tout bon communiste qui se sert toujours d'un bon mot pour faire le contraire, il emploie le mot démocratie pour faire accepter la dictature la plus complète.
Par l'argent électronique, proposé par Bourgeois, les magnats de l'argent seront assurés d'avoir un contrôle serré sur toutes les entreprises, toutes les fermes, et tous devront être les esclaves soumis à leur loi de fer du "Crois ou meurs".
Le temps est arrivé, prédit il y a près de 2,000 ans, par saint Jean. Tous les catholiques connaissent ces prédictions de l'Apocalypse de saint Jean, sur la bête, écrites dans la Bible :
"16. Et elle (la bête) fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front...
"17. et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom..."
Ne nous laissons pas enchaîner par le plan Bourgeois. N'acceptons pas, pour aucune considération, le système de paiements par la puce électronique. C'est notre liberté qui est en jeu.
Éclairons nos concitoyens sur ce danger en les abonnant au journal Vers Demain, le seul journal libre, qui se fait le défenseur du peuple contre ses voraces ennemis, les banquiers internationaux.
(Voir ci-dessous un extrait de l'Apocalypse de saint Jean qui nous prédit les ravages de la Bête, mais aussi la victoire de notre Dieu, créateur du Ciel et de la terre).
Thérèse Tardif
Les banquiers font tout pour obtenir le contrôle complet de toute la planète. Dans le "Journal de Québec" du 13 mai 1995, on y lit : "Le porte-monnaie électronique est à nos portes. La Banque Royale et la Banque CIBC ont fait savoir qu'elles allaient participer, avec certaines des plus grandes banques du monde, au lancement du porte-monnaie électronique Mondex, à l'échelle du globe."
