Le 5 septembre 1997
Bien chers Frères et Sœurs dans le Christ Jésus,
Depuis longtemps déjà vos œuvres et votre existence me paraissent très précieuses et glorieuses pour l'Église et pour le Seigneur Jésus.
Mes rencontres occasionnelles avec certains d'entre vous ont toujours été très agréables et fraternelles. À l'occasion de liturgies chez-vous et à l'église paroissiale, votre participation a contribué à augmenter ma ferveur.
Le départ visible de Monsieur Gérard Mercier enlève un élément très positif à votre institution. Je le considérais comme un ami. Sa cordialité, sa jovialité et son enthousiasme devant la vie, toutes ces qualités doublées de charité, de foi et d'espérance audacieuses me le faisaient voir comme un apôtre de notre temps. Celui qui a un tel cœur d'apôtre reçoit la récompense de l'apôtre. Et la Providence divine qui vient chercher aujourd'hui Mère Térésa me permet de les voir près du Cœur de Jésus dès ce premier Vendredi du mois de septembre.
J'en profite pour vous dire à toutes et à tous que je vous aime beaucoup et je vous suis très proche par la prière et la vie dans le Christ, notre Sauveur et notre Amour !
Sincères condoléances dans l'Alléluia de la Gloire que Dieu réserve à son fidèle serviteur qui l'a tant aimé. Bénédictions abondantes à chacun et chacune de vous.
Marcel Mongeau, o.m.i.