Le Brésil offrira bientôt au public une puce électronique à implanter sous la peau pour combattre soi-disant les preneurs d'otage et ainsi la victime pourra être repérée par la police. Le fabricant de ce produit, Antonio de Cunha Lima, 46 ans, sera le premier à recevoir cet implant. Il est de son intérêt de donner l'exemple pour s'attirer de la clientèle. Étant distributeur de la VeriChip au Brésil, il vendra son produit 1000 réaux (493 euros) plus un abonnement mensuel, le « garde du corps électronique ». L'industriel de Cunha Lima s'attend d'avoir un commerce florissant puisque la classe moyenne peut être victime des preneurs d'otage aussi bien que la classe professionnelle. Voici une autre nouvelle récente datée du 28 décembre 2007 :
« Mexico City, le 28 décembre (IANS)- L'Institut national des migrations (INM) du Mexique a dit qu'il va introduire une inscription électronique pour les étrangers entrant dans le pays via la frontière sud du pays afin de freiner l'immigration illégale. Dans un communiqué, l'INM a dit jeudi que des biopuces implantables seraient utilisées pour contrôler l'entrée des travailleurs et des visiteurs en provenance du Belize et du Guatemala à partir de mars 2008, a rapporté vendredi l'agence de la presse espagnole.
"L'implant remplacera l'actuel local pass, qui peut être aisément modifié."
"La biopuce d'identification permettra l'enregistrement électronique total d'entrées et des sorties, ont dit les officiels."
Ce sont de beaux arguments en faveur de l'implantation de la puce électronique. Aux États-Unis, c'est au nom de la médecine que l'on promeut l'usage de la puce. La Haute Finance et la Franc-maçonnerie veulent contrôler chaque individu du monde entier par cet implant. Tous nos nos achats et ventes, nos allées et venues, notre vie privée, notre certificat médical, notre statut civil, faits et gestes seront inscrits dans la puce électronique. Nous serons épiés dans les moindres détails de notre vie. On voudra nous faire renier notre foi pour avoir le droit de vivre. Les recherchistes dans le domaine de la puce électronique étudient aussi des moyens pour contrôler le cerveau et la pensée de la personne. C'est une dictature sans nom que l'on nous prépare, le pire esclavage que la race humaine n'a jamais connu. Approuver un tel système, c'est s'enfoncer la tête dans le sable comme l'autruche.
Dieu a créé l'homme avec un corps et une âme faite à son image et à sa ressemblance. Les facultés de l'âme - l'intelligence, la mémoire et la volonté - doivent être libres et être au service de Dieu, nullement contrôlées, manipulées par des puces sous la peau. Soyons vigilants. Ne nous laissons pas prendre dans les pièges de Satan. Rappelons-nous de cet extrait de l'Apocalypse de saint Jean (chap.13-v. 16-17) concernant les deux Bêtes, la Bête de la mer et la Bête de la terre, qui formeront le couple « Antéchrist ». Voici ce qui est écrit au sujet de la Bête de la terre :
"Par ses manœuvres, tous, petits et grands, riches ou pauvres, libres et esclaves, se feront marquer sur la main droite ou sur le front, et nul ne pourra rien acheter ni vendre s'il n'est marqué au nom de la Bête ou au chiffre de son nom. C'est ici qu'il faut de la finesse ! Que l'homme doué d'esprit calcule le chiffre de la Bête, c'est un chiffre d'homme : son nom, c'est 666."
Non ! à l'État policier électronique avec la puce ! Nous voulons être marqués du signe de la Croix et non du signe de la Bête.
Yvette Poirier