Il est bien connu que tous les gouvernements ont cédé aux banques privées leur plus grand pouvoir de créer leur propre argent. C'est la raison pour laquelle tous les pays sont engloutis sous les dettes, et ne seront jamais capables de les rembourser.
Parce que les banques privées ne créent jamais l'intérêt qu'elles exigent sur leurs prêts, il est impossible de rembourser à la fois le capital et l'intérêt. Avec ce système d'argent-dette, toutes les nations sont endettées à perpétuité, étant les esclaves des Financiers internationaux.
Lorsqu'un pays ne peut plus payer les intérêts sur sa dette, le Fonds Monétaire International prend sous sa charge les politiques économiques de ce gouvernement. Alors, le FMI applique une quantité de « thérapies de choc » bien connues, comme la dévaluation de la monnaie nationale. Par exemple, la roupie indonésienne a connu une dévaluation de 80%, le peso mexicain, de 50%, le rouble russe a perdu 200 fois sa valeur de 1987, le dinar yougoslave qui valait 22 dollars en 1986, ne valait plus que 11 cents en décembre 1989, ayant perdu 200 fois sa valeur.
L'hyperinflation est devenue évidente en Yougoslavie en décembre 1991 alors que la valeur du dinar tomba à un demi-cent l'été suivant, pour en venir à trois millièmes de cent aujourd'hui. Puis est venu ensuite le gel des salaires et le contrôle des prix, afin d'être compétitif sur le plan international. Tous ces « chocs » ont fait s'écrouler l'économie yougoslave, et diminuer les revenus du gouvernement.
Le FMI force les gouvernements à augmenter les taxes, comme la TPS ou TVA, l'impôt sur le revenu, la taxe sur l'essence, etc. Il exige aussi la réduction des programmes sociaux comme les soins de santé, le bien-être social, l'éducation, etc. tout cela pour payer l'intérêt sur la dette nationale et atteindre un budget équilibré.
Lorsque les « thérapies de choc » du FMI frappent un pays, cela déclenche une crise économique qui conduit à des conflits entre races. Les grèves massives et répétées et autres manifestations ouvrières entraînent le désordre social et la révolution civile. Les citoyens ordinaires commencent à haïr leurs voisins après que toutes les autres possibilités d'une vie économique normale aient été détruites. Le « nettoyage ethnique » arrive après que la « thérapie de choc » ait accompli son travail et déclenché une guerre, comme au Kosovo, et dans tant d'autres pays.
Dans le « Wall Street Journal », il y a six ans, l'ancien rédacteur adjoint, Jude Wanniski, fondateur du groupe de réflexion et compagnie d'experts-conseil "Polyconomies Inc.", a prédit de façon précise la guerre actuelle du Kosovo comme conséquence des « thérapies de choc » du FMI en Yougoslavie.
Le « Wall Street Journal » affirmait dans son éditorial que « le FMI était maintenant la force la plus destructive sur terre. Le Fonds Monétaire International, dans sa plus grande partie contrôlé par les banques internationales au moyen de leur influence sur le Trésor américain, est vraiment la force satanique qui a précipité la crise dans les Balkans. Jusqu'à ce qu'il soit neutralisé, le nettoyage ethnique, les atrocités et la guerre civile continueront à travers le monde à exiger de verser le sang américain.»
Michel Chosudovsky, professeur d'économie à l'Université d'Ottawa et auteur de « Impacts of the IMF » et « World Bank Reform », a écrit dans un récent ouvrage intitulé « Dismantling Yugoslavia, colonizing Bosnia » (Démanteler la Yougoslavie, coloniser la Bosnie) : « La réforme macro-économique imposée par les créanciers étrangers (prêteurs d'argent) du gouvernement de Belgrade depuis la fin des années 1980, a été soigneusement synchronisée avec les opérations militaires de l'OTAN. Le sort du Kosovo avait déjà été décidé. Comme résultat du remède mortel du FMI, toute l'économie yougoslave s'est retrouvée en faillite...
« Les fabricants d'opinion ont cependant présenté les divisions culturelles, ethniques et religieuses comme étant les seules causes de la crise. En réalité, elles sont les conséquences d'un processus plus profond de restructuration économique et politique...
« La Yougoslavie est un miroir de restructurations semblables non seulement dans les pays en voie de développement, mais aussi aux États-Unis, au Canada et en Europe. La réforme yougoslave est le reflet cruel d'un modèle économique destructeur poussé à l'extrême. »
Il est clair que les banquiers internationaux, avec la Gestapo du FMI comme paravent, projettent de conduire à la faillite tous les pays en donnant au corps multinational l'accès à l'achat de toutes nos industries et richesses naturelles. Ils forcent aussi indirectement les gouvernements à privatiser tout ce qu'ils possèdent au nom de la réduction de la dette.
Toutes ces stratégies des banquiers internationaux servent à établir un Nouvel Ordre Mondial avec une monnaie électronique mondiale, un gouvernement mondial et une religion mondiale sans Dieu. Dans ce « village global », tout le monde aura besoin d'une micro-puce implantée sous la peau comme carte d'identité, moyen de paiement, accès aux soins de santé, etc. Avec cette puce et le système de satellites, ils auront le pouvoir de repérer n'importe quel être humain sur terre par son numéro.
La première chose à faire pour nous libérer de cette tyrannie des dictateurs mondiaux, est d'effacer immédiatement les dettes de tous les pays. C'est aussi ce que demande Sa Sainteté le Pape Jean-Paul II pour le Grand Jubilé de l'an 2000. Toutes ces dettes nationales ont déjà été payées plusieurs fois en intérêts.
Par exemple, en Amérique latine, les banques ont prêté à ces pays 80 milliards $, et en dix ans, ces mêmes pays ont remboursé, en intérêts, 418 milliards $, et ils doivent encore leur dette nationale. Au Canada, nous avons payé notre dette déjà 10,4 fois. Le prêt original de 37 milliards $ est maintenant devenu une dette de 600 milliards $, en raison de l'intérêt composé des usuriers. Imaginez-vous que pour cette année seulement, les frais d'intérêt sur notre dette nationale sont de 42 milliards $.
Le professeur Jacques Larochelle, de l'Université Laval de Québec, a écrit, dans une lettre publiée dans le journal « Le Soleil » du 7 juillet 1998 : « La vérité cruciale à connaître sur notre dette nationale, c'est qu'il s'agit d'une dette d'intérêts et non pas d'une dette de dépenses dans les programmes sociaux. D'après une étude rendue publique en 1995 par le Dominion Bond Rating Service, 93% de la dette nationale est attribuable aux intérêts composés et seulement 7% aux dépenses de l'État dans l'ensemble de ses programmes, y compris la défense nationale. »
Ce sont nos ancêtres des générations passées et nous, Canadiens, et toutes les autres nations aujourd'hui, pendant des centaines d'années, qui avons construit la richesse de nos pays, et non pas les banquiers d'aujourd'hui, les « changeurs d'argent ». Ces parasites ne font qu'écrire des chiffres dans des livres de banque, de façon illégale même selon les Constitutions de nos pays. Ils ont conduit tous les pays dans ces dettes impayables, exigeant impitoyablement que les intérêts leur soient payés. Le pouvoir de créer et d'augmenter la quantité d'argent dans n'importe quel pays appartient en toute justice au gouvernement souverain de la nation, et non pas aux compagnies privées appelées banques. Les gouvernements doivent financer leur capacité à produire les biens et services demandés par les citoyens avec de l'argent sans dette et sans intérêt.
En cette ère de technologie, deux-tiers de nos biens sont faits par l'automation. C'est pourquoi, au lieu de payer des taxes qui vont en intérêts aux banques, chaque citoyen de la nation devrait recevoir un dividende pour acheter l'abondance qui provient de nos richesses naturelles et des fruits du progrès, des inventions. Ce dividende, basé sur le progrès, satisferait les besoins essentiels de chaque homme, femme et enfant. Ce serait la plus grande libération du fardeau financier imposé par ces escrocs et usuriers financiers. Chacun aurait le temps de se préparer pour célébrer le Grand Jubilé de l'an 2000. Gloire et louanges seraient rendues au Père Éternel, le Créateur du ciel et de la terre, pour l'abondance, le pain quotidien donné à tous. Nous devons tous travailler pour la justice et la paix afin bâtir le royaume de Dieu sur terre qui aidera tout le monde à vivre conformément aux Dix Commandements de Dieu, qui sont la volonté de Dieu.
Nous verrons l'application du christianisme en économique seulement si nous travaillons pour la justice sociale, en éduquant la population sur une réforme monétaire juste et saine, telle que proposée par la philosophie du Crédit Social de C. H. Douglas. Et ce système financier créditiste ferait opposition au gouvernement mondial et à son argent électronique sous forme de micropuce, la « marque de la Bête, 666 ».
Les « thérapies de choc » du FMI n'existeraient plus, et les forces diaboliques n'auraient plus de pouvoir sur les nations. La façon la plus rapide de libérer le monde est d'être responsable et de donner du temps à l'apostolat, en distribuant nos circulaires, et en abonnant tout le monde à notre lumineux journal Vers Demain. Que Dieu vous donne le courage et la grâce de faire cet apostolat, avec la protection des saints anges.