Benoît XVI présidera six canonisations le dimanche 17 octobre 2010: il l’a annoncé vendredi le 19 février lors d’un consistoire ordinaire. Dont l’un est notre bon Frère André. www.zenit.org nous le présente comme suit: «Le bienheureux Canadien, Frère André Bessette (au siècle, Alfred), était religieux de Sainte-Croix (1845-1937), apôtre de saint Joseph et grand thaumaturge; «Pauvre, serviteur et humble», «Pauper, servus et humilis», lit-on sur sa tombe; homme de prière à qui l’on venait se confier, l’humble «Frère André» est à l’origine de l’imposante basilique construite à Montréal en l’honneur de saint Joseph, en qui il avait une confiance toute spéciale; il a été béatifié par Jean-Paul II en 1982.
Montréal, le 19 février 2010 - C’est dans une atmosphère de joie palpable que plusieurs membres de la famille religieuse de Sainte-Croix, du diocèse de Montréal et de l’Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal ont été réunis aujourd’hui dans la Salle du Consistoire de la Cité vaticane, pour entendre le pape Benoît XVI annoncer en leur présence et devant les cardinaux en réunion, que Frère André sera canonisé le dimanche 17 octobre prochain à Rome.
Cette nouvelle attendue depuis si longtemps du premier modèle masculin de sainteté né au Canada a provoqué des applaudissements nourris.
Le supérieur général de la Congrégation de Sainte-Croix, père Hugh Cleary et le recteur de l’Oratoire Saint-Joseph, père Claude Grou étaient au nombre de la délégation en compagnie de madame l’ambassadeur du Canada auprès du Saint-Siège, Anne Leahy:
«La canonisation de frère André est un grand honneur pour le Canada. Frère André est une figure très connue non seulement dans l’Église catholique. Son rayonnement s’étend bien au-delà de Montréal; il a touché les gens au Canada tout entier et même à l’étranger. Ses mérites, que l’Église tient à reconnaître, sont une expression particulièrement resplendissante de la contribution des catholiques à notre pays et à sa tradition spirituelle.»
Le cardinal Jean-Claude Turcotte, archevêque de Montréal, a déclaré en point de presse à l’Oratoire Saint-Joseph:
«L’annonce de la canonisation de frère André est ce qui pouvait arriver de mieux cette année pour l’Église de Montréal. J’ai toujours été impressionné par cet homme, à la fois humble et visionnaire, un homme à la foi profonde. Un exemple de ténacité, autant d’actualité encore aujourd’hui en 2010. »
Le supérieur de la province canadienne de la Congrégation de Sainte-Croix, père Jean-Pierre Aumont, c.s.c., a mentionné que «l’annonce de la canonisation de frère André est un précieux cadeau qu’accueillent avec bonheur ses nombreux amis qui ont bénéficié de son intercession et de son soutien depuis plusieurs décennies. Pour les religieux de Sainte-Croix, il représente plus que jamais une source d’inspiration, un modèle de foi et de confiance en Dieu et en l’être humain. Il nous invite à rêver grand et à croire en l’avenir!»
À sa mort, le 6 janvier 1937, un million de personnes ont défilé devant son cercueil pour lui rendre hommage.
Au fil des ans, 10 millions de personnes ont signé des pétitions pour sa canonisation. Depuis 1941, on a multiplié les démarches pour qu’il soit canonisé et déclaré saint. En 1978, Paul VI l’a déclaré vénérable, et en 1982 Jean-Paul II l’a béatifié.
Alfred Bessette, le bienheureux frère André, frère convers de la Congrégation de Sainte-Croix, grand thaumaturge canadien et fondateur de l’Oratoire Saint-Joseph du Mont Royal, est né dans la paroisse de Saint-Grégoire d’Iberville, (Mont-Saint-Grégoire, Québec) le 9 août 1845, fête du saint Curé d’Ars. Il était le fils d’Isaac Bessette et de Clothilde Foisy. Le frère André est décédé le 6 janvier, fête de l’Epiphanie 1937, à l’hôpital Notre-Dame-de-l’Espérance de ville Saint-Laurent, (Montréal) Québec.
Alfred Bessette est le huitième enfant d’une famille de 12 (dont 4 morts en bas âge). Il est baptisé, le lendemain de sa naissance.
À l’automne de 1849, Isaac Bessette vend sa propriété de Saint-Grégoire et déménage à Farn- ham. Le père de famille, pauvre, exerce divers métiers. Le 20 février 1855, un arbre qu’il abat, lui tombe sur la poitrine et le tue. Désormais seule avec ses enfants, Clothilde assure leur éducation chrétienne et leur transmet la dévotion traditionnelle à la sainte Famille de Jésus, Marie et Joseph. Restée sous le choc de la mort de son mari, elle dépérit et meurt de tuberculose le 20 novembre 1857.
Alfred a 12 ans. Il est recueilli par sa tante maternelle Marie-Rosalie et son mari Timothée Nadeau, qui résident à Saint-Césaire. Il suit des leçons de catéchisme, puis reçoit la confirmation de Mgr Jean-Charles Prince, premier évêque de Saint-Hyacinthe, le 7 juin 1858. Quand l’oncle Nadeau, en 1860, part travailler en Californie, le maire de Saint-Césaire, Louis Ouimet, accueille l’adolescent et le fait travailler sur la ferme. En 1862, il est apprenti boulanger puis cordonnier. Son état de santé est faible, il ne digère rien, mais il prie beaucoup. Depuis sa tendre enfance à Farnham, Alfred, malgré sa santé fragile, se prive de dessert et porte à la taille une ceinture en cuir avec des pointes de fer pour se sacrifier. Ses prières à genoux sont longues, fréquentes et intenses: on le trouve les bras en croix, devant un crucifix, à l’église, dans sa chambre ou dans une grange.
Suivant l’exemple de plusieurs Canadiens du temps qui émigrent aux Etats-Unis pour gagner le pain quotidien, Alfred prend le train pour la Nouvelle-Angleterre en octobre 1863. Des frères, des sœurs et des connaissances d’Alfred y sont déjà installés. Le jeune homme de 18 ans, qui a peine à supporter le travail en usine, alterne les emplois dans des filatures de coton avec le travail dans des fermes. Il est embauché au Connecticut (Moosup, Putnam, Hartford et Killingly), au Massachusetts (North Easton) et au Rhode Island (Phoenix). Réservé de nature, Alfred, épuisé après sa journée de travail, s’enferme dans sa chambre et prie.
Après quatre ans, il revient à Saint-Césaire chez Louis Ouimet; le curé, André Provençal remarque la piété du jeune homme et lui conseille d’entrer en communauté. Alfred invoque son ignorance. L’abbé Provençal calme ses réticences en l’assurant qu’il trouvera le climat de prière dont il a besoin, tout en se rendant utile, dans la Congrégation de Sainte-Croix, à laquelle il avait confié en 1869, la direction d’un collège à St-Césaire.
Le 22 novembre 1870, Alfred se présente au collège Notre-Dame, à Côte-des-Neiges (Montréal), où la Congrégation de Sainte-Croix vient d’installer son noviciat. M. le curé Provençal a écrit une lettre de recommandation au maître des novices, lui disant: «Je vous envoie un saint.»
Avec un autre postulant, Alfred prend l’habit religieux le 27 décembre, et prend aussi le nom d’André, en l’honneur du curé André Provençal qui l’avait si bien dirigé.
En 1872, les supérieurs de la congrégation hésitent cependant, en raison de sa mauvaise santé, à l’admettre à la profession religieuse. Après une conversation avec Mgr Ignace Bourget - celui-là même qui a fait venir la congrégation de Ste-Croix au pays - l’évêque de Montréal rassure le frère André. Peu après, le nouveau maître des novices, Amédée Guy, le recommande en disant: «Si ce jeune homme devient incapable de travailler, il saura au moins bien prier.» Admis à prononcer ses vœux temporaires le 22 août 1872, le frère André fait sa profession perpétuelle à 28 ans et 6 mois, le 2 février 1874.
On lui confie la fonction de portier du collège. Il doit aussi assurer la propreté des lieux, faire les courses, donner l’aumône aux pauvres. Il devient aussi barbier et infirmier auprès des collégiens, s’occupe du courrier, du transport des colis des élèves; il accompagne parfois ces derniers, les jours de promenade.
Parmi les guérisons miraculeuses survenues du vivant du Frère André, on raconte celle du Frère Albéric, qui s’était blessé à la jambe et était immobilisé dans sa chambre depuis un mois, il désespérait de ne pouvoir se rendre aux célébrations en l’honneur de saint Joseph, au jour de sa fête patronale. Le frère André fit une neuvaine au grand saint Joseph et le 19 mars le Frère Albéric put se rendre avec joie à la chapelle.
On rapporte aussi qu’un jeune élève se trouvait confiné au lit depuis plusieurs jours en raison d’une fièvre maligne. Mais lors d’une récréation, le Frère se rendit à l’infirmerie, et lui dit: «Lève-toi, petit paresseux ! Tu es en parfaite santé. Va-t-en jouer dehors avec les autres !» Se sentant mieux, le garçon partit rejoindre ses camarades. Le Frère fut réprimandé par le médecin du collège pour son imprudence, mais quand celui-ci examina le garçon, il reconnut que l’élève était effectivement guéri.
Quand une épidémie de variole toucha le collège, l’infirmerie de l’ancien noviciat fut remplie de patients, religieux et élèves. Quelques-uns moururent, malgré les soins assidus prodigués par le Supérieur du collège, et par le Frère André, qui se mit à prier saint Joseph de faire cesser l’épidémie. Dès lors, plus personne ne fut atteint, et les malades se trouvèrent subitement guéris !
Les guérisons obtenues par la prière de frère André firent affluer les pauvres et les malades: des mourants recouvraient la santé, des cas «désespérés» étaient guéris, des jambes et des bras infirmes devenaient normaux comme par un jeu d’enfant. La guérison pouvait être instantanée ou prendre du temps et de la persévérance, des prières et des neuvaines, être totale ou partielle, par contact direct ou au loin: «Ayez confiance en saint Joseph ! Frottez la partie malsaine avec une médaille ou de l’huile de saint Joseph», recommandait frère André.
Un grand collaborateur du Thaumaturge, Joseph-Olivier Pichette qui, après avoir été condamné par son médecin à une mort prochaine à l’âge de 25 ans, a été guéri après avoir demeuré jour et nuit avec le bon frère, avoir récité de longues prières et fait une neuvaine avec le thaumaturge.
Le frère André avait aussi un bon sens de l’humour, et l’utilisait fréquemment pour donner des petites leçons. Un jour il vit une femme cueillir des pommes vertes des arbres de la communauté. Celle-ci vint le voir plus tard pour être guérie de douleurs à l’estomac. Le Frère lui dit: «Frottez-vous avec une médaille de saint Joseph et, bien sûr, cessez de manger des pommes vertes !». À une autre femme se plaignant de ressentir constamment un poids sur la poitrine, il répondit: «Ce n’est sûrement pas votre décolleté qui vous embarrasse. Frottez-vous jusqu’à ce que le tissu s’allonge !» À une autre dame portant une robe un peu courte, il demanda: «Ne craignez-vous pas de vous enfarger dans votre robe ?» Il est à noter que le Frère, amant de la modestie et de la pureté, ne touchait jamais les femmes pour les guérir.
La réputation de thaumaturge et de sainteté du petit frère se répandait de bouche à oreille. La direction du collège finit par s’inquiéter du flot croissant de visiteurs. Des parents, des confrères et même le médecin de l’établissement dénoncent aux autorités religieuses et sanitaires de la ville la présence de malades à proximité des élèves. Certains qualifient le frère de charlatan.
On demande au frère André de recevoir les malades dans un abri construit en face du collège, à l’arrêt du tramway, pour les parents des élèves. Il amène ses visiteurs prier devant une statue de saint Joseph qu’il a installée dans une niche sur le Mont Royal. Le terrain est acquis en 1896 par le collège Notre-Dame. Le frère André nourrit le projet d’y ériger une chapelle à saint Joseph. Avec l’appui de ses amis, il finit par obtenir l’autorisation de la construire. Grâce aux dons offerts spontanément, la chapelle est bénite le 16 octobre 1904.
L’affluence des pèlerins est telle qu’on devra augmenter les dimensions de la chapelle à quatre reprises de 1908 à 1912. Chaque fois, la générosité populaire permettra de payer les travaux.
En 1913, sous la pression des laïques et avec l’encouragement de Mgr Bruchési, un projet de basilique est mis en branle. L’argent nécessaire pour financer la construction de la crypte, soit 80 000 $, est déjà amassé grâce aux dons des fidèles. Les travaux commencent donc dès 1914 et l’inauguration de la crypte - première étape du projet - a lieu le 16 décembre 1917. En moins d’un an, le sanctuaire, qui pouvait accueillir 1 000 personnes assises, se révèle cependant trop petit.
Le nombre de visiteurs s’accroît encore au cours des années 1920, et selon la volonté de l’archevêque, l’oratoire St-Joseph devient le cœur des activités religieuses de l’archidiocèse. Des associations de toutes sortes - mouvements sociaux, syndicats catholiques, congrégations - prennent l’habitude d’y faire des pèlerinages et des rassemblements qui attirent des milliers de personnes. Dans les paroisses et les établissements d’enseignement, on organise des visites annuelles à l’oratoire.
Les visiteurs ne viennent plus seulement de la province de Québec, mais aussi de l’Ontario, du Nouveau-Brunswick, de l’Ouest canadien, et des États-Unis. En 1920, le frère André institue chaque vendredi soir, une heure sainte à la crypte, bientôt suivie d’un chemin de la croix. Le frère André racontait la Passion de Notre-Seigneur avec une telle émotion à ses amis, qu’ils en étaient remués et transformés. À tous, il demandait de prier. Ces soirées de prière attirent des centaines de fidèles. L’idée de réparation que proposent les autorités religieuses pour contrer la menace du socialisme et du communisme, ainsi que les guerres en Europe, donne lieu à diverses initiatives laïques.
Dès 1915, les supérieurs avaient permis au frère André d’aller, deux fois par année, visiter des parents et des amis à Sutton, à Saint-Césaire et à Québec, mais également aux États-Unis (surtout en Nouvelle-Angleterre) et en Ontario (Toronto, Sudbury et Ottawa).
Sa réputation de saint et de thaumaturge le précède. Les chefs de gare annoncent sa venue et les gens se pressent à sa descente du train, à la porte des hôtels ou des presbytères où il est hébergé. C’est chaque fois l’occasion de guérisons que relatent les journaux locaux. Il revient toujours avec les offrandes données en reconnaissance des faveurs obtenues. La population réclame de plus en plus la poursuite du projet de basilique; en 1927, Mgr Georges Gauthier autorise une souscription pour recueillir la somme nécessaire. En attendant, on continue d’aménager le terrain et d’y construire des chemins et des aires de stationnement, d’y ériger des lieux de services.
Après avoir montré beaucoup de réticence au sujet de son projet de la construction d’une basilique, les supérieurs du frère André ont fini par se laisser gagner par sa sincérité et sa sainteté.
Plusieurs années avant sa mort, le frère André attirait des milliers de dévots à l’oratoire Saint-Joseph. Son charisme, sa figure souriante, son humour simple savaient gagner les plus indifférents. Il faisait preuve de discernement auprès de ses visiteurs, mais aussi d’une charité sans bornes: il accueillait tous ceux qui se présentaient, sans égard à leur condition sociale ni à leur religion. Quand on lui attribuait le mérite des faveurs obtenues: «Ce n’est pas moi qui guéris, c’est saint Joseph» , disait-il.
A 91 ans, le frère André souffre d’une gastro-entérite. Le 31 décembre 1936, il était hospitalisé et le 6 janvier 1937, il rendait sa belle âme à Dieu, sa mission accomplie.
Saint Joseph, lui, continua la sienne. Les funérailles du frère André furent grandioses, le peuple se précipita pour voir une dernière fois le saint frère, cent dix personnes à la minute, ce qui représente 100 000 personnes par jour, certains n’ont jamais pu atteindre le corps. Il n’y eut pas d’embaumement, et trois jours après la mort, il paraissait toujours comme endormi. Pendant le défilé ininterrompu d’un million de personnes, il y eut encore des miracles tandis que les confessionnaux étaient assiégés. Il y eut aussi des miraculés parmi les personnes qui suivaient la retransmission des cérémonies à la radio !
Après la mort du thaumaturge, tout continua comme avant. La première fête de saint Joseph, sans le frère André, rassembla encore 25 000 personnes le 19 mars, et 92 000 durant la neuvaine. Les miracles de saint Joseph continuaient: par exemple, du 17 janvier au 17 octobre 1937, le secrétariat enregistra 933 miracles et 6700 faveurs. De 1941 à 1943, 10 408 miracles. On ouvrit un bureau des constatations sur le modèle de celui de Lourdes. En 1958, on avait étudié 791 cas.
Le 28 juillet 1938, la messe était célébrée pour la première fois dans la basilique supérieure. Pendant la guerre, l’affluence augmenta encore: 138 000 personnes à la neuvaine de 1942. Durant les années 50, on estime à trois millions par an le nombre de pèlerins. Le nombre de communions, lui, est précis: 267 000 en 1953, 328 000 en 1955, 397 000 en 1957. Dix mille messes étaient célébrées chaque année et trente-deux chapelains étaient au service de l’Oratoire.
Et les miracles continuent aujourd’hui aussi. Voici un témoignage pris sur le site Radio Sacré-Cœur:
Jean-Pierre FOCQUET Le 02/01/2010 à 22:53 12.
«J’étais sous le coup d’une commotion cérébrale depuis le 14 février, suite à un accident à Namur (Belgique), quand je suis venu avec mon épouse Daniela visiter en touriste l’oratoire Saint- Joseph, l’après-midi du 31 août 2009, avant de reprendre l’avion pour Bruxelles le soir à 23 h. Durant la visite, nous nous sommes intéressés à la vie du frère André que je ne connaissais pas auparavant. L’histoire de sa vie m’impressionnait beaucoup, ce qui m’a incité à signer la pétition pour sa canonisation. Comme beaucoup d’autres, j’ai posé ma main sur son buste en bronze en face de sa tombe. Nous avons poursuivi la visite jusqu’à la petite chapelle où se trouvait sa chambre à l’étage ensuite. Sur le parking, dans la voiture pour le départ, je sentais que quelque chose avait changé en moi: je ne sentais plus les douleurs à la tête et, même plus, je pouvais tourner brusquement la tête comme avant mon accident. Mon épouse était impressionnée, car on ne s’y attendait pas. Était-ce seulement un répit suite à 23 jours de congé au Québec ? Certainement que le soir, avec l’avion, la fatigue et le décalage horaire, les céphalées me rattraperaient ! Pas du tout ! Je suis guéri de ma commotion cérébrale depuis ma visite de l’oratoire. Je ne peux rien expliquer et ne sais pas ce qui a dû se passer… Nous venons de passer le cap de 2010 et je puis témoigner toute ma reconnaissance, car depuis ma visite de l’oratoire, je suis délivré de ma commotion cérébrale et du traitement médical qui m’était imposé. Qui dois je remercier ? Merci, Frère André !
Jean-Pierre FOCQUET (Namur, Belgique)