Les ennemis du christianisme civilisateur savent que la femme est la grande éducatrice des hommes, c'est pourquoi, ils se sont acharnés à la faire sortir du foyer, à l'arracher de son rôle sublime de maman, à lui faire accepter des modes séductrices et corruptrices et des travaux qui la dépersonnalisent.
Nous tirons de la brochure « Renouveau Français » ce qui suit sur les modes :
Du Renouveau Français
Dans les circonstances si délicates dans lesquelles nous nous trouvons, il importe que les femmes soient mises au courant des faits. On ne peut plus nier que l'émancipation complète de la femme ne soit un des principaux articles du programme de la Franc-Maçonnerie. Dès 1820, le mot d'ordre était de travailler énergiquement à la corruption de la femme, en vue de déchristianiser la famille et la société.
Monseigneur DELASSUS a cité, dans la « Semaine Religieuses de Lille », le mot d'ordre donné par le pouvoir occulte à toutes les Sociétés Secrètes : « Nous avons entrepris la corruption en grand, la corruption qui doit nous conduire à mettre un jour l'Église au tombeau ; pour abattre le catholicisme, il faudrait supprimer la femme, mais puisque c'est impossible, alors corrompons-la. Le travail que nous allons entreprendre n'est ni l'œuvre d'un jour, ni d'un mois, ni d'un an ; il peut durer plusieurs années, un siècle peut-être, mais dans nos rangs, le soldat meurt et le combat continue ».
Et encore : « Ne nous lassons jamais de corrompre », Tertullien disait avec raison que le « sang des martyrs enfantait du sang de chrétiens » ; ne faisons donc pas de martyrs, mais popularisons le vice dans les multitudes... Qu'elles le respirent par les cinq sens, qu'elles le boivent, qu'elles s'en saturent - Faites des cours vicieux, vous n'aurez plus de catholiques ».
Qui ne se souvient de la mode des jupes fendues laissant apercevoir la jambe gauche ? Sait-on que c'est une des particularités de la tenue des Soeurs maçonnes dans leurs réunions solennelles ?
Personne ne me contredira si j'affirme que les chrétiennes doivent avoir à cœur de choisir d'autres modèles... (Cité par le R.P. Vuilermet dans « Modes Actuelles », page 40.)
Chers sœurs dans le Christ, je suis restée stupéfaite en lisant cette petite brochure qui nous apprend que les jupes fendues sont portées par les dames franc-maçonnes. On ne peut douter que ces modes soient lancées sur le marché par les ennemis de Dieu, de la famille et de la société.
Comme vous le voyez, chère bonne amie, les modes d'aujourd'hui sont poussées par la Franc-Maçonnerie pour pervertir les femmes. Malheureusement, les meilleures dames se font attraper dans le piège. Nous avons vu dernièrement une bonne dame, vêtue d'un très joli tailleur, avec jupe à mi-jambe. Elle servait la Messe. Lorsqu'elle descendit du sanctuaire pour aller donner la communion, tous les fidèles ont pu voir l'immense fente du côté gauche de sa jupe, laissant voir très haut la partie supérieure de sa jambe gauche. Nous ne croyons pas que cette dame soit franc-maçonne, mais, sans le savoir, elle s'habille comme ces ennemies du christianisme, parce que c'est la « mode » !
Après lecture de cet article, si on est chrétienne, il faut avoir le courage de sortir des garde-robes les jupes fendues et d'en coudre les ouvertures qui laissent voir des parties du corps qui doivent être voilées. Le christianisme vous demande ce sacrifice.
Des femmes chrétiennes nous ont avoué qu'elles étaient prêtes à aller au martyre pour la défense de la foi. Mais quand il s'agit de la mode, elles ne peuvent faire le sacrifice d'y renoncer. Sacrifier la mode, serait-ce un plus grand martyre que celui de verser son sang ?
Et pourtant, notre civilisation chrétienne dépend de la pureté des femmes, notre christianisme en dépend. Le christianisme, c'est le triomphe de l'esprit sur la chair. Impossible de vaincre la chair sans cette modestie dans le vêtement qui commande le respect au lieu d'attiser les passions.
Tout a été organisé dans nos parlements, dans nos écoles, dans les média d'information, en vue de faire renoncer à nos chers sœurs dans le Christ, à leur noble rôle de mère et d'éducatrice.
Une « maman » quelle merveille ! Ce doux nom de « maman », ce premier mot qui sort de la bouche d'un petit enfant, ce beau visage d'une maman qui se penche tendrement sur un berceau ; cette maman qui apprend au petit à parler, à marcher, à vivre chrétiennement, n'est-ce pas pour l'homme le plus grand des trésors ?
Mais la propagande perverse des féministes marxistes a fait accroire aux femmes, qu'elles étaient inférieures aux hommes, parce qu'elles n'accomplissaient pas les mêmes travaux qu'eux. Elle les a fait elles-mêmes réclamer d'être admises aux lourds travaux des hommes comme ceux de « chauffeuses » de camion, de pompières, de policières, etc. Pourtant la mission d'une mère est bien supérieure à tous ces durs métiers d'homme qui endurcissent les mains et les visages.
C'est elle, la femme, qui a la mission de modeler le cœur et l'esprit des enfants, de les former, de les éduquer chrétiennement, de les nourrir, de les aimer, de déposer dans leur âme les premiers germes de la foi, afin d'en faire des catholiques bons, honnêtes et charitables. Ah, que ce puissant amour de « maman » manque à notre société déboussolée. Les hommes n'ont plus devant leurs yeux ces modèles de dévouement désintéressé, remplis d'amour, de miséricorde et de bonté. Ils n'ont qu'à faire face à la froideur d'une femme pressée qui court à son travail ou qui en revient épuisée.
Une « maman » à la maison, c'est ce dont la société et la famille ont le plus besoin.
Que le Cœur immaculé de Marie soit notre modèle et notre force, afin qu'un jour, cette tendre Mère nous conduise au Ciel. « Bienheureux les cœurs purs, car ils verront Dieu ! ».