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Sournoise démolition du christianisme

le dimanche, 01 août 1999. Dans Éducation

Sournoise démolition du christianisme

Véritable persécution religieuse

Dans les foyers d'accueil gouvernementaux à Lewiston, Maine, États-Unis

par Jacqueline Guay

Monique Dostie, de Lewiston, Maine, États-Unis, a travaillé pendant un an dans un centre d'accueil gouvernemental pour les handicapés.

Un jour, ses patrons lui ont ordonné d'enseigner aux handicapés comment pratiquer le vice solitaire.

Horrifiée par une telle demande, Monique Dostie répondit : "Je suis catholique, jamais je me plierai à un tel ordre." Et elle quitta cet emploi qui l'aurait obligée de trahir sa foi.

Elle décida d'ouvrir elle-même un foyer pour handicapés. Elle obtint son permis de l'État. À ses handicapés, au nombre de trois, elle a enseigné les Commandements de Dieu au lieu de leur enseigner le vice. Ses handicapés sont maintenant catholiques et sont satisfaits de la bonne tenue de leur foyer.

Mais, trois mois après l'ouverture de son foyer, Monique Dostie reçoit la visite de cinq ou six inspecteurs de l'État. Ils lui donnent deux livres sur le sexe à enseigner à ses handicapés. Elle jette un coup d'œil sur ces livres, et, se rendant compte de quoi il s'agissait, elle lance ces livres pornographiques sur le fauteuil et elle dit : "Je ne lirai jamais moi-même ces livres et je ne les enseignerai pas à mes handicapés. Cette littérature n'entrera pas dans ma maison."

Les inspecteurs demandent de voir les règlements de sa maison. Ils sont inscrits sur les murs. Pas de programmes de TV, pas de programmes de radio, pas de cassettes, pas de vidéo, pas de livres qui présentent de la pornographie.

"Madame, disent les inspecteurs, vous avez un permis de l'État, vous devez suivre les règlements de l'État, vos règlements vont contre les droits de vos pensionnaires, si vous n'enlevez pas ces règlements, nous vous amènerons en Cour."

Monique Dostie répondit : "Je préfère suivre la loi de Dieu avant de suivre la loi de l'État."

Pour cette raison, elle fut traduite devant les tribunaux. Elle a obtenu le concours d'un avocat catholique, Maître James Bendelle, de l'Association des Avocats Catholiques des États-Unis.

Malgré les bons arguments de l'avocat, qui a démontré clairement que les règlements de la maison de Mlle Dostie n'allaient pas contre les droits de ses handicapés, ces derniers étant eux-mêmes catholiques, ils sont satisfaits des règlements contre l'enseignement du sexe et contre la pornographie, la Cour n'a pas donné gain de cause à Monique Dostie. La raison évoquée, c'est que si Mlle Dostie prenait un nouveau pensionnaire, elle n'aurait pas le droit de lui imposer ses règlements. Alors l'avocat a placé un appel devant la Cour Supérieure, contre cette décision, car selon lui, les catholiques ont aussi des droits.

Lorsqu'elle a ouvert son foyer pour handicapés, Monique Dostie l'a placé sous le patronage de Pauline-Marie Jaricot, fondatrice de l'Œuvre de la Propagation de la Foi, dont le procès de béatification est ouvert à Rome.

Beaucoup de parents téléphonent à Mlle Dostie pour lui démontrer leur appui et l'encourager ; certains d'entre eux lui disent qu'ils seraient heureux de placer leurs handicapés chez elle si jamais ils en avaient dans leur famille.

Un évêque d'Ottawa, qui doit aller à Rome, a demandé à Mlle Dostie sa documentation concernant cette affaire pour la montrer à S.S. le Pape, Jean-Paul II, afin de mettre le Pape au courant de la tactique sournoise que prend l'adversaire pour saboter la base même de notre civilisation chrétienne.

Jacqueline Guay

Notes de Vers Demain

La religion catholique a reçu le même sabotage sournois dans nos écoles aussi bien aux États-Unis qu'au Canada. Nous avons en main deux manuels destinés aux enfants des écoles primaires. Des livres d'une perversité sans nom qui détruisent toute moralité chez les enfants et chez les adultes. Ils enseignent le vice, même le vice contre nature, dans les moindres détails. Ils contredisent carrément les Commandements de Dieu.

Quand les enfants sont ainsi pervertis, peut-on être surpris de voir les actes barbares qui se produisent dans nos écoles, comme les horribles tueries de groupes d'étudiants dans le Colorado, et à l'université de Montréal, et tous les autres actes de violence ?

Et à quoi peut-on aussi s'attendre quand la corruption rejoint même des juges ? Nous pouvons lire dans le Bulletin parlementaire "L'Accès" ce qui suit :

"Diane St-Jacques, la députée du parti conservateur fédéral du comté de Shefford, s'est élevée contre un jugement d'un tribunal de la Colombie Britannique, au Canada :

« Des gens de tous les milieux, y compris des protecteurs d'enfants, des victimes d'actes criminels et même des défenseurs des libertés civiles, ont déclaré combien ils étaient indignés et dégoûtés de voir qu'un juge puisse faire passer le droit d'un individu à avoir en sa possession de la pornographie juvénile avant le droit de la société à protéger ses enfants en sévissant contre l'usage de ce matériel nuisible et parfaitement condamnable », a déclaré Mme St-Jacques, lundi."

Nous appuyons fortement Monique Dostie dans sa bataille contre la pornographie dans les foyers d'accueil. Nous félicitons aussi notre députée, Diane St-Jacques qui s'est élevée contre le jugement néfaste d'un tribunal de la Colombie Canadienne, en faveur de la pornographie.

Que tous les membres du clergé et tous les catholiques se lèvent en bloc pour dénoncer ce sabotage sournois, contre notre sainte religion catholique, exercé par nos gouvernements athées. Il faut absolument que nos écoles et nos institutions soient purifiées de cet enseignement pervers du sexe si désastreux pour notre civilisation chrétienne.

Qu'on enseigne les Commandements de Dieu, les seuls vrais principes de base, pour la construction d'une société heureuse et pacifique.

À genoux, nous supplions saint Michel de lancer de nouveau son cri victorieux "Qui est comme Dieu" et d'accourir avec ses anges défendre nos enfants contre les suppôts d'Asmodée, le démon de l'impureté, déchaînés sur toute la terre

Thérèse Tardif

Aux États-Unis, les Dix Commandements peuvent maintenant être affichés dans les endroits publics

Les tueries dans les écoles ont fait réfléchir des Membres de la Chambre des représentants aux États-Unis. Jusqu'à présent, l'enseignement des Commandements de Dieu n'était pas permis dans les écoles.

Le 17 juin 1999, à Washington D.C., aux États-Unis, la Chambre des représentants a voté une loi pour permettre d'afficher les dix Commandements dans les écoles et dans les autres édifices gouvernementaux. Par un vote de 248 contre 180, les députés ont approuvé l'amendement à la loi sur le crime juvénile, proposé par le Républicain Robert Aderholt. Cet amendement autorise désormais les États de décider si oui ou non ils permettront un tel affichage dans les édifices publics. L'amendement, dit le député Aderholt, est le premier pas fait par le gouvernement pour ré-inculquer les valeurs de la vie humaine aux enfants influencés par la culture de la violence.

"Je comprends que d'afficher simplement les dix Commandements ne changera pas instantanément le caractère moral de notre nation, dit le député Aderholt. Cependant, c'était une étape importante à franchir pour promouvoir la moralité, et la fin des tueries d'enfants."

En 1980, la Cour Suprême des États-Unis avait déclaré, inconstitutionnelle, une loi du Kentucky préconisant l'affichage d'une copie des Dix Commandements dans les classes de chaque école publique. La Cour avait statué que de tels affichages violaient la loi établie de la séparation de la religion et de l'État."


"Une famille, ça s'élève avec le Rosaire !" dit François Blais, 26 ans, père de famille de 4 enfants.

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