"Children's Aid Society" en Ontario et "Protection de la Jeunesse" au Québec, semblent être des organismes athées fondés spécialement pour tuer Dieu, l'Église et la famille, dans notre pays. Les autres pays doivent aussi être affublés de ces organismes marxistes qui font la loi à tous. Ils dépossèdent les parents de leurs droits et de leur autorité et ils coûtent très cher en taxes aux citoyens. Il est temps de les faire disparaître.
C'est impensable que nos gouvernements dépensent tant d'argent des taxes des citoyens honnêtes pour maintenir ces organisations infernales. S'il y a un endroit où le gouvernement devrait exercer ses coupures, c'est bien dans ces organisations nuisibles aux familles et à la société.
Il y a quelques mois, au poste CHRC, Québec, André Arthur, animateur de radio, a invité les auditeurs à donner sur les ondes, leurs mauvaises expériences avec "Protection de la Jeunesse". Pendant deux heures, de 8 heures à 10 heures du matin, sans arrêt, des mères de famille se sont déchargé le cœur en racontant comment "Protection de la Jeunesse" s'était, emparé de leurs enfants tout simplement parce qu'elles, les mères de famille, avaient voulu accomplir leur devoir auprès de leurs enfants. Aucune des dames qui ont téléphoné n'a parlé en faveur de "Protection de la Jeunesse". Nous ne citerons que trois cas flagrants pour démontrer jusqu'à quel point "Protection de la Jeunesse" est nuisible à la famille et aux enfants eux-mêmes.
Une mère a raconté que sa fille de 12 ans a demandé de lui acheter une paire de souliers. Bien, les parents lui ont acheté une paire de souliers de près de $100. La semaine suivante, la fillette désirait acheter une autre paire de souliers. La mère a tenté de lui faire comprendre qu'elle n'avait pas les moyens de lui acheter une paire de souliers par semaine. La fillette a téléphoné aux agents de "Protection de la Jeunesse" qui se sont empressés de venir s'emparer de l'adolescente. Les parents n'ont pas le droit non plus de s'opposer à ce que leur enfant se teigne les cheveux d'une couleur barbare, autrement c'est l'enlèvement de l'enfant par "Protection de la Jeunesse".
Une autre fillette de 14 ans s'était amourachée d'un garçon de 28 ans. Les parents se sont opposés à ces fréquentations. "Protection de la Jeunesse" est venue la chercher pour la remettre au convoiteur. Deux ans plus tard l'enfant est revenue chez ses parents avec le sida.
Ainsi, les parents ne peuvent plus du tout, orienter et conseiller leurs enfants, les agents de "Protection de la Jeunesse" s'imposent en supérieurs.
N'importe quel enfant mal tourné et mal formé, dans nos écoles également athées, peut, en toute sécurité, aller accuser ses parents de tous les défauts, à "Protection de la Jeunesse" au Québec ou "Children's Aid Society" en Ontario. L'enfant sera immédiatement pris en charge. Et les
parents vont en voir de toutes les couleurs. Nous avons appris, par exemple, qu'un enfant, pour s'émanciper et avoir le droit de faire toutes les bêtises communes à l'âge critique de l'adolescence, était allé déposer de légères accusations contre ses parents.
Mais "Children's Aid Society" a su multiplier les accusations. Pour s'emparer d'un enfant, il faut trouver une grave accusation et c'est pourquoi, on ne se gêne pas d'accuser "d'abus sexuel" faussement et sans preuve des pères de famille intègres. On voit que plusieurs travailleuses sociales sont formées à la même école athée, car l'argument de "l'abus sexuel" est aussi bien employé aux États-Unis que dans les différentes provinces du Canada, contre les pères de famille.
C'est vraiment diabolique de soulever les enfants contre leurs parents, comme le font certaines travailleuses sociales de "Children's Aid", c'est antinaturel et barbare.
Ces petites dames du démon ne croient pas en en Dieu, elles-mêmes, elles n'ont aucun principe, elles peuvent pratiquer l'adultère selon leurs désirs, sans aucun scrupule, pour elles rien n'est péché. Mais quand il s'agit de détruire une famille, tous les moyens sont bons, elles n'ont aucune hésitation d'accuser faussement des parents "d'abus sexuel", et les conséquences de ces accusations sont très graves :
1. Enlèvement de l'enfant sans mandat de cour dans certaines circonstances.
2. Arrestation du père à qui les policiers passent les menottes pour l'amener et le jeter en prison comme un criminel, pour ensuite l'élargir, le citer en justice et lui faire subir un procès. Cela ne vous fait-il pas penser un peu à l'Union Soviétique des années 30 ?
3. Nécessité pour les parents de prendre un avocat qui leur coûtera de $150 à $200 de l'heure. À ce prix-là les parents seront rapidement ruinés. Mais c'est justement ce que désirent les athées : détruire et ruiner les familles.
4. Multiples comparutions en cour, qu'on remet d'une date à l'autre, pour traîner les choses pendant des années, ce qui écrase les parents moralement et financièrement.
Un avocat, qui en a soupé lui aussi de "Children's Aid", nous a fait remarquer qu'en droit criminel l'accusateur a le fardeau de la preuve, il doit prouver ses accusations. Mais au "Tribunal de Children's Aid", c'est le contraire, c'est l'accusé qui doit prouver qu'il n'est pas coupable. On dit que le modèle de "Children's Aid" a été pris en Suède, mais, reprend l'avocat, ce qu'on ne dit pas c'est que la Suède a pris son modèle sur Hitler et sur Staline, sur un droit sans Dieu.
Devant ces injustices flagrantes, un autre avocat a suggéré à une famille de remettre sa cause entre les mains de l'Ombudsman. L'Ombudsman, c'est le protecteur du citoyen, il s'engage à faire des enquêtes sur tout organisme gouvernemental et pu-
blic qui commet une injustice envers des citoyens. Quelle ne fut pas la surprise et la déception de cette famille d'apprendre par "l'Ombudsman" qu'il n'a pas le pouvoir de mener d'enquête sur "Children's Aid Society", parce que "Children's Aid Society" est aussi un tribunal. L'Ombudsman n'a pas le pouvoir d'agir contre un tribunal. Donc les parents n'ont aucun recours contre les travailleuses sociales qui abusent de leur pouvoir.
La Police elle-même ne peut rien faire contre un petit bandit mineur pris en charge par "Protection de la Jeunesse".
Alors, la plus sainte des mères de famille peut se faire torchonner par la plus vile des matrones de "Children'Aid's", sans que personne, pas même le gouvernement, puisse protester.
La doctrine des athées est diamétralement opposée aux plans de Dieu Créateur. En définitive, leur but est de faire disparaître toute idée de Dieu de la surface de la terre. Pour cela ils veulent détruire la famille et l'Église, remparts de la société, et bases de la véritable civilisation.
Voici des dogmes auxquels ces athées militants croient et veulent nous faire croire : "La matière seule existe". "L'homme est un animal technique", "La religion est l'opium du peuple". "Dieu c'est le mal". "La propriété, c'est le vol". "L'autorité quelle qu'elle soit doit être abolie". "La famille est un foyer de putréfaction bourgeoise". "L'enfant n'appartient pas aux parents, mais à l'État."
Les athées sont bien installés au Canada. Ils sont infiltrés dans tous les milieux et dans les postes clés au gouvernement, dans les médias et partout. Ils passent leurs idées révolutionnaires au grand nombre des chrétiens endormis. Et les conséquences sont désastreuses.
Des organismes qui agissent selon les dogmes des athées au Canada, ce sont "Children's Aid Society", en Ontario, et "Protection de la Jeunesse", au Québec. À remarquer que les communistes se présentent toujours sous le manteau d'un bon motif pour attirer les victimes qu'ils convoitent. Pour s'emparer de l'enfance, on parle d'un organisme de protection de l'enfance. Protéger les enfants contre qui ? Contre leurs parents qui les aiment et qui font tous les sacrifices pour leur assurer la vie et le bonheur ? L'astuce des menteurs n'a pas de bornes.
"Children's Aid" est l'organisme des communistes athées pour s'imposer en Ontario et pour faire disparaître toute idée de Dieu de l'esprit et du cœur des enfants.
Au Canada, la Charte des droits et liberté garantit à chaque citoyen la liberté religieuse et la liberté d'expression. On est au-dessus de cette charte à "Children's Aid". La « superwomen » a le pouvoir de défendre à des parents de porter sur eux-mêmes des médailles religieuses, des chapelets et d'en apporter à leur enfant emprisonné par "Children's Aid". Défense absolue aussi d'apporter des images religieuses, cela pourrait traumatiser l'enfant, selon ces travailleuses sociales.
Et combien humiliantes sont ces entrevues "parents-enfants" enregistrées sur vidéo et sur bandes magnétiques, sous la surveillance des matrones. Absolument interdit de dire quoi que ce soit à l'enfant concernant la cause, sous peine d'être expulsé du camp de concentration où est détenu le petit. Puis le téléphone de la famille est branché sur "Children's Aid", autorisé s.v.p. par la signature de l'enfant enlevé, membre de la famille...
"Children's Aid Society" est au-dessus de toute juridiction. Aucun organisme judiciaire, gouvernemental ou privé n'a de pouvoir sur cette dictature infernale.
Mais qui donne cette super autorité aux travailleuses sociales ?
Les avocats, les policiers, les politiciens se rendent compte de l'insupportable dictature, de cette main de fer cachée sous le gant de velours des agentes de "Children's Aid", mais ils se sentent impuissants. Ils ne parlent pas. "Ne pas contribuer à la solution, c'est contribuer au problème", dit-on.
Dans la doctrine des athées, la fin justifie les moyens. La calomnie, l'emprisonnement, le parjure, la trahison, la révolution, tout leur est permis. De conscience, ils n'en ont pas. Ainsi, ils sont tout à fait à leur aise d'accuser d'abus sexuel des parents intègres, c'est l'argument courant des matrones de Lucifer qui accusent les autres de leurs propres péchés. Il est temps que la vérité éclate.
Le journal Vers Demain a fait paraître le cas de Donna, aux États-Unis. Cette fillette s'était fait harceler pendant deux ans par les psychologues de l'école pour accuser son père d'agression sexuelle. Ne pouvant plus leur résister la fillette à accuser faussement son père. Après des années de souffrances et de persécutions pour les parents et la fillette on a enfin découvert la vérité, des psychologues athées avaient hypnotisé Donna pour la forcer à accuser son père. (Voir l'histoire de Donna Smith, dans Vers Demain d'août-septembre 1995.)
Un jeune homme m'a dit : "Des travailleurs sociaux, avec qui j'ai eu affaire, m'ont fait tellement haïr mon père que j'ai eu l'idée de le tuer. Ayant compris la stratégie, je me suis réconcilié avec mon père, il est mon meilleur ami avec qui je peux parler en toute confiance, car l'amour paternel ne se remplace pas."
Il est visible que l'un des principaux buts de "Children's Aid Society", c'est de détruire notre belle religion catholique. Ce sont nos belles et nombreuses familles catholiques qui sont principalement visées. La destruction de la religion et de la famille sont deux buts à atteindre par les athées.
Dans la région de Sherbrooke, "Protection de la Jeunesse" plaçait des enfants catholiques, enlevés de force aux parents, dans des foyers d'accueil dont les propriétaires privaient les enfants d'assister à la Messe, les dimanches, s'opposant ainsi à la foi et au désir de ces pauvres petits enfants.
On a vu aussi, dans cette même région, qu'un certain agent de "Protection de la Jeunesse" s'était fait arrêter avec d'autres dans un complot épouvantable de drogue. Il faut bien des clients aux "pushers" de drogue, et ils prennent les enfants. Quel fléau dans les écoles que cette drogue qui circule à flots !
"Protection de la Jeunesse" et "Children's Aid Society" sont remplis de professionnels et demi-professionnels pratiquants qui se moquent de la religion.
Selon leurs dogmes, les enfants sont des êtres non sociaux et non familiaux. Ces professionnels athées continuent à marcher vers le socialisme, leur vrai but est le matérialisme, le communisme. Alors, pour eux, il faut détruire la famille et abattre toute autorité, surtout celle du père de famille.
Voici des extraits de la propagande marxiste-communiste :
"L'important est d'abolir radicalement l'autorité du père et sa puissance quasi royale dans la famille..."
"Il est impérieusement nécessaire que l'État reprenne son travail antireligieux systématique parmi les enfants. Non seulement nous devons rendre nos garçons et nos filles non-religieux, mais activement et passionnément antireligieux. L'influence des parents religieux à la maison doit être combattue rigoureusement" (Kroupskaya, Outchitelskala Gazeta, 10 octobre 1929).
Dans le Manifeste communiste, Karl Marx déclare carrément :, "Nous reprochez-vous de vouloir mettre un terme à l'exploitation des enfants par les parents ? Oui, nous faisons l'aveu de ce crime."
"L'amour chrétien est un obstacle au développement de la révolution. Nous devons apprendre à haïr, et alors seulement nous conquerrons le monde." (Lunarcharski)
Dans son encyclique Divini Redemptoris, S.S. le Pape Pie XI écrit : "Lorsque du cœur des hommes l'idée même de Dieu s'efface, leurs passions débridées les poussent à la barbarie la plus sauvage."
Le régime communiste athée s'est révélé être le régime de la mort. Morts dans la révolution, morts dans les camps de concentration, morts par les famines, morts par la contraception, morts par l'avortement, morts par l'euthanasie, ce régime se termine par la pétrufaction et les pires calamités.
Combien est plus salutaire, vivifiant et réjouissant l'enseignement de l'Église en ce qui concerne la famille. Il est à point de rappeler ici des paroles de S.S. le Pape Jean-Paul II à l'occasion de "l'année de la Famille" en 1994 :
"Le Concile Vatican II n'a-t-il pas dit lui aussi que les époux, dans le sacrement du mariage, se consacrent presque à Dieu ? Ils se consacrent pour créer un environnement d'amour et de vie. Amour et vie. Telle est votre vocation, très chers frères et sœurs ; votre vocation, très chères familles. C'est votre vocation qui traverse toutes les générations, en commençant par les aïeux, les grands-parents jusqu'aux petits-enfants et arrières petits-enfants : une famille de générations. Ce pèlerinage de générations traverse la même famille tout au long de la vie terrestre, pour arriver dans la maison du Père.
"En effet nous sommes convaincus que la société ne peut se passer de l'institution familiale pour la simple raison qu'elle naît dans les familles et qu'elle tire sa consistance des familles.
"Face à la dégradation culturelle et sociale actuelle, en présence de la diffusion de fléaux comme la violence, la drogue, la criminalité organisée, quelle meilleure garantie pour la prévention et la réhabilitation y aurait-il qu'une famille unie, moralement saine et engagée dans la société ? C'est dans de telles familles que l'on se forme aux vertus et aux valeurs sociales de solidarité, d'accueil, de loyauté, de respect de l'autre et de sa dignité.
"Cela se développe grâce à la prière et surtout grâce à la participation aux sacrements de réconciliation et de l'Eucharistie.
"...Soyez les bâtisseurs de la culture de la vie et de la civilisation de l'amour."
Nous demandons de toutes nos forces l'abolition immédiate de "Children's Aid Society" et de "Protection de la Jeunesse". Ce sont des organisations qui coûtent très cher en taxes et elles sont nuisibles aux familles et à la société. Pensons aux salaires accordés aux travailleuses sociales, aux maisons d'accueil, aux avocats et aux juges de "Protection de la Jeunesse" et de "Children's Aid Society." Au lieu de couper dans le "Bien-Être Social" des jeunes, qui sont sans ressources et sans avenir, malgré leurs multiples diplômes universitaires, que le gouvernement coupe complètement "Protection de la Jeunesse" et "Children's Aid Society".
Nous demandons à nos gouvernements de faire servir à la promotion de la famille les montants d'argent fabuleux qu'ils consacrent pour faire vivre ces odieux organismes de propagande et de sanctions communistes. Que les salaires considérables accordés à tous ces travailleuses et travailleurs sociaux, avocats, juges, de "Childrens Aid's" soient distribués en allocation mensuelle aux mères de famille, qui sont les plus compétentes et les plus dévouées pour élever et éduquer les enfants. Avec des enfants bien élevés par leurs parents, les voyous disparaîtront de nos rues et toute la société s'en trouvera mieux.
Nous prions Marie, notre Mère, de venir au secours de tous ces pauvres parents si odieusement agressés par "Children's Aid Society" et "Protection de la Jeunesse".