Je vois à l’époque de la |
Le 13 juillet 1917, à Fatima, au Portugal, la Sainte Vierge a montré aux trois voyants, Jacinthe, Lucie et François, l’enfer «où vont les âmes des pauvres pécheurs». Le même jour elle a prédit que si le monde en se convertissait pas le bon Dieu allait le «punir par le moyen de la guerre, de la famine et des persécutions contre l’Église et le Saint-Père». Elle ajouta: “Les bons seront martyrisés. Le Saint-Père aura beaucoup à souffrir. Plusieurs nations seront anéanties”.
Le 19 août 1917, encore à Fatima, Notre-Dame a dit: «Il y a beaucoup d’âmes qui vont en enfer parce qu’il n’y a pas personne pour se sacrifier et prier pour elles.»
Jacinthe a dit sur son lit de mort:
«Les péchés qui conduisent le plus d’âmes en enfer sont les péchés d’impureté. Certaines modes s’introduiront qui offenseront beaucoup Notre-Seigneur. Les personnes qui suivent Notre-Seigneur ne doivent pas suivre ces modes. L’Église n’a pas de modes. Notre-Seigneur est toujours le même.
«Beaucoup de péchés, et de très graves, se commettent dans le monde. Si les hommes savaient ce qu’est l’éternité, ils essaieraient de changer de vie. La Sainte Vierge ne peut plus retenir les bras de son Fils suspendus sur le monde».
Le monde est loin de s’être converti après ces avertissements du Ciel en 1917. Nous sommes rendus à l’époque prédite par la Vénérable Anne de la Foi, en 1879:
«Je vois à l’époque de la terrible punition des hommes aux costumes efféminés et des femmes revêtues de livrées d’hommes.»
Convertissons-nous avant qu’il ne soit trop tard. Mettons en pratique les demandes de la Sainte Vierge à Fatima: un amendement personnel, des sacrifices pour la conversion des pécheurs, la récitation du Rosaire, la Communion réparatrice des premiers samedis du mois et la Consécration au Cœur Immaculé de Marie. Ce sont les conditions que nous devrions remplir pour être épargnés de grands fléaux. N’oublions pas que les guerres sont une punition pour les péchés des hommes. Connaîtrons-nous une troisième guerre mondiale nucléaire? Tout dépend du degré de conversion de l’humanité.