Ce n'est pas seulement au Canada où la révolution est dans les écoles. C'est dans presque tous les pays que l'infiltration marxiste fait ses ravages. En France, le journal "Rivarol", du 7 mai 1998, nous en donne une petite idée, dans un article, sous le titre, "L'école labo de la révolution" dont voici quelques extraits :
"Professeurs et surveillants vivent désormais dans la "hantise du meurtre" comme à Goussainville où les cours se déroulent dans des salles verrouillées, de crainte des racketteurs armés...
L'éducation nationale appuie son discours sur les résultats de recherches faites dans les domaines de la pédagogie, de l'apprentissage cognitif (de la capacité d'acquérir) des connaissances, de la psychanalyse, de la socio-psychanalyse.
Ces disciplines ont propagé des valeurs "révolutionnaires", puisqu'elles œuvrent pour que soit gommée (disparaisse) l'autorité de l'adulte, et soit prônée dans une vision purement marxiste, une sorte de lutte de classe entre adultes et adolescents. (...)
"Favoriser l'expression des enfants n'est pas anodin... On obtient ipso facto un renversement de positions. Ce n'est plus l'enseignant qui est seul autorisé à parler de sujets qu'il connaît. On reconnaît tout à coup ce droit aux élèves..."
Loin d'apaiser le malaise, le discours psychopédagogique ne fera qu'accentuer les problèmes, tels ceux de l'indiscipline et de la violence. (...)
Curieusement, associations de parents et d'élèves, syndicats, partis politiques (au Conseil régional) participent, souvent en toute bonne foi, au nom de l'Humanisme, à cette entreprise de délabrement de la personne humaine."
Jean-Paul Mathiss
NDVD : Sachant cela, est-ce que les parents catholiques ont encore le droit, en conscience, d'envoyer leurs enfants dans ces écoles révolutionnaires ?