Robert Francis Kennedy Jr. est un avocat américain spécialisé dans les questions d’environnement, auteur et opposant à la vaccination. Il est le président de l’ONG Children’s Health Defense (Pour la défense de la santé des enfants) et président du conseil d’administration de Waterkeeper Alliance, autre ONG qu’il a contribué à fonder en 1999. Militant anti-vaccination, il est l’un des tenants de la théorie du lien existant entre vaccination et autisme. Il est producteur délégué du film Vaxxed II : The People’s Truth, la suite du film anti-vaccination Vaxxed. RF Kennedy est le fils de Robert F. Kennedy et le neveu de l’ancien président John F. Kennedy.
Voici la traduction d’une tribune rédigée le 9 avril 2020 par Robert F. Kennedy Jr, président de l’ONG Children’s Health Defense, publiée en français sur le site strategika.fr, sous le titre « Robert F. Kennedy Jr dénonce le programme mondial de vaccination de Bill Gates » :
par Robert Kennedy Jr.
Les vaccins, pour Bill Gates, sont une philanthropie stratégique qui alimente ses nombreuses activités liées aux vaccins (y compris l’ambition de Microsoft de contrôler une entreprise mondiale d’identification vaccinale) et lui donne un contrôle dictatorial de la politique de santé mondiale.
L’obsession de Gates pour les vaccins semble être alimentée par la conviction de sauver le monde par la technologie.
Promettant sa part de 450 millions de dollars sur 1,2 milliard de dollars pour éradiquer la polio, Gates a pris le contrôle du Groupe consultatif technique national indien sur la vaccination (NTAGI), qui a prescrit jusqu’à 50 doses de vaccins contre la polio par le biais de programmes de vaccination se chevauchant pour les enfants avant l’âge de cinq ans. Les médecins indiens accusent la campagne Gates d’être à l’origine d’une épidémie dévastatrice de paralysie flasque aiguë non-polio (NPAFP) qui a paralysé 490 000 enfants au-delà des taux attendus entre 2000 et 2017. En 2017, le gouvernement indien a rappelé le schéma vaccinal de Gates et a demandé à Gates et à ses politiques de vaccination de quitter l’Inde. Les taux de NPAFP ont chuté brusquement.
En 2017, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a admis à contrecœur que l’explosion mondiale de la polio est principalement une souche vaccinale. Les épidémies les plus effrayantes au Congo, en Afghanistan et aux Philippines sont toutes liées aux vaccins. En fait, en 2018, 70% des cas mondiaux de poliomyélite étaient des souches vaccinales.
En 2014, la Fondation Gates a financé des tests de vaccins expérimentaux contre le VPH, développés par Glaxo Smith Kline (GSK) et Merck, sur 23 000 jeunes filles dans des provinces indiennes éloignées. Environ 1 200 ont souffert d’effets secondaires graves, notamment des troubles auto-immunes et de la fertilité. Sept sont mortes. Les enquêtes du gouvernement indien ont accusé les chercheurs financés par Gates d’avoir commis des violations éthiques généralisées : faire pression sur les filles vulnérables durant le procès, intimider les parents, falsifier les formulaires de consentement et refuser les soins médicaux aux filles blessées. L’affaire est maintenant devant la Cour suprême du pays.
En 2010, la Fondation Gates a financé un essai de phase 3 du vaccin expérimental contre le paludisme de GSK, tuant 151 nourrissons africains et causant des effets indésirables graves, notamment des paralysies, des convulsions et des convulsions fébriles, à 1 048 des 5 949 enfants.
Pendant la campagne MenAfriVac de Gates en 2002 en Afrique subsaharienne, les agents de Gates ont vacciné de force des milliers d’enfants africains contre la méningite. Des dizaines d’enfants vaccinés ont développé une paralysie. Les journaux sud-africains se sont plaints : « Nous sommes des cobayes pour les fabricants de médicaments ». L’ancien économiste principal de Nelson Mandela, le professeur Patrick Bond, décrit les pratiques philanthropiques de Gates comme « impitoyables et immorales ».
En 2010, lorsque Gates a engagé 10 milliards de dollars pour l’OMS, il a déclaré : « Nous devons en faire la décennie des vaccins. » Un mois plus tard, Gates a déclaré dans un TED Talk que les nouveaux vaccins « pourraient réduire la population ». Et, quatre ans plus tard, en 2014, l’Association des médecins catholiques du Kenya a accusé l’OMS d’avoir stérilisé chimiquement des millions de femmes kenyanes réticentes avec une campagne de vaccination contre le « tétanos ». Des laboratoires indépendants ont trouvé une formule de stérilité dans chaque vaccin testé. Des accusations similaires sont venues de Tanzanie, du Nicaragua, du Mexique et des Philippines.
Une étude de 2017 (Morgenson et al. 2017) a montré que le vaccin DTP populaire de l’OMS tue plus d’enfants africains que les maladies qu’il prévient. Les filles vaccinées au DTC ont subi 10 fois le taux de mortalité des enfants qui n’avaient pas encore reçu le vaccin. L’OMS a refusé de rappeler le vaccin mortel, qu’elle impose à des dizaines de millions d’enfants africains chaque année.
Des défenseurs mondiaux de la santé publique dans le monde entier accusent Gates de détourner l’agenda de l’OMS des projets dont il est prouvé qu’ils freinent les maladies infectieuses : eau potable, hygiène, nutrition et développement économique. La Fondation Gates dépense seulement environ 650 millions de dollars sur son budget de 5 milliards de dollars dans ces domaines. Ils disent qu’il a détourné les ressources de l’agence pour servir sa philosophie personnelle selon laquelle une bonne santé ne vient que dans une seringue.
En plus d’utiliser sa philanthropie pour contrôler l’OMS, l’UNICEF, GAVI et PATH, Gates finance une société pharmaceutique privée qui fabrique des vaccins et fait un don de 50 millions de dollars à 12 sociétés pharmaceutiques pour accélérer le développement d’un vaccin contre le coronavirus. Dans ses récentes apparitions dans les médias, Gates semble confiant que la crise de Covid-19 lui donnera maintenant l’occasion de forcer ses programmes de vaccins dictatoriaux sur tous les enfants américains – et les adultes.