Si le gouvernement, au lieu des banques, imprimait, créait l'argent pour le pays, finis dettes, déficits, taxes, faillites, chômage
Finis rapports insupportables à chaque gouvernement
Chaque Canadien recevrait, sans enquête, un dividende de $800 par mois
par Gérard Mercier
Notre assemblée du 22 janvier, 4e dimanche du mois, fut encore un plein succès, malgré qu'elle était moins fournie dans l'assistance. Il y en a qui ont eu peur de l'hiver.
Mais M. et Mme Lawyer, avec leur fils Jeffery et leur fille Angela, étaient présents. Ils avaient parcouru 575 milles de Minto à Rougemont. Par dessus le marché, ils ont voyagé de nuit. Vent, verglas. "Quand même, on y va !" Ils s'étaient promis de venir tous les mois. Grande décision. Leur exemple en a décidé quelques-uns à faire l'effort du voyage. Il faut être fortement convaincu pour se permettre de pareils efforts. M. Lawyer a 31 ans. Il est apôtre dans le fond de l'âme. Madame Lawyer, grande apôtre aussi.
Plusieurs de nos bons vieux Créditistes n'ont plus la force de se battre contre les obstacles. Jeunes et moins vieux, venez à la rescousse pour mener une franche bataille. Normalement, les jeunes bien nés, c'est lorsqu'il y a de gros obstacles à vaincre qu'ils sont vraiment intéressés à foncer.
Dans ma dernière lettre, celle du 8 janvier, je vous parlais avec beaucoup d'insistance de l'importance de passer à l'action, de vous mettre à l'apostolat. C'est nous, chacun de nous, qui avons connu ce grand message si important du Crédit Social.
Réflexion d'Edmond Burke : "La seule chose nécessaire pour que le mal triomphe, c'est que le bon monde ne fasse rien."
Marcel Lefebvre aime à dire : "Lorsque nous faisons un pas pour le bien, nous faisons reculer le mal de dix, vingt pas, et même davantage."
Si toi-même, vous-mêmes, si tous, vous bons Créditistes passiez à l'action, nous remporterions vite toutes les victoires. Jésus et notre Maman du Ciel attendent cela de vous, de toi. Bon succès !
Pauvre Jésus, qui est mort sur la croix pour nous, lorsque nous nous donnons à l'apostolat, c'est un peu mourir avec Lui. Toi-même, si tu passes à l'action, la victoire est garantie, les financiers cesseront d'égorger les plus petits.
Réflexions : Il y a beaucoup de bons Créditistes, de bons vieux apôtres, qui lisent ces appels à l'action, et ils n'ont plus la force, ils donnent quand même le peu de force qu'il leur raste. Jeunes et moins jeunes, ce serait une grave erreur de votre part que de compter sur les vieux pour remporter la victoire contre les exploiteurs, contre les financiers.
Par exemple, Emile Roy, de Minto, N.B., il était alors à quelques mois de sa mort et en béquilles. Il dit à Bertrand Gaouette :'Je suis bon pour t'accompagner encore quelques portes." Une de ses connaissances lui dit : "A ton âge et avec ton handicap, tu devrais arrêter." Emile lui répond : "Prends ma place." Jeunes, regardez parmi nos bons apôtres. Plusieurs d'entre eux dépassent les 80 ans, 75, 70 ans, ils sont bien malades, et quand même à l'apostolat. Ça nous tire les larmes de voir ces bons vieux apôtres aller au-delà de leurs forces. Jeunes, jeunes pères et mères de famille, Dieu ne peut donner la victoire sans votre précieuse collaboration.
Il me semble que l'heure des jeunes est arrivée, n'est-ce-pas ? La jeunesse n'est pas faite pour la débauche, mais pour l'héroïsme. Tant de jeunes se perdent ! Il faut qu'il en reste pour le bien, afin de changer ce courant diabolique qui les entraîne.
De plus en plus d'abonnés à Vers Demain nous disent, d'autres nous écrivent pour nous dire qu'un tel journal devrait entrer dans toutes les maisons. C'est vrai, Vers Demain apporte de grandes lumières et ce journal donne l'espérance.
Elle est belle notre équipe d'apôtres de tous les âges. L'autre jour, à Vallée-Jonction et à Ste-Marie de Beauce, 17 étaient à la distribution des circulaires : des tout petits, des pères et mères de belles familles, des grands-pères, des grand'mères. Ce ne sont pas les derniers de leur paroisse. Même, ils pourraient facilement être des personnalités en vue dans leur paroisse. Ils ne manquent pas de beauté, de belle tenue, de distinction. Ils mettent tout cela de côté et humblement, ils distribuent des circulaires pour libérer leur pays et pour donner l'exemple aux jeunes enfants. Le Bon Dieu est capable d'évaluer ces beaux sacrifices. Honneur à tous ! Et honneur à ceux qui se font les organisateurs de ces sorties ! Honneur aussi à ceux qui organisent l'autobus qui vient à Rougemont chaque quatrième dimanche des mois. Ils se démènent pour remplir l'autobus.
Je me demande si je fais bien de vous donner les bonnes nouvelles de la marche du Mouvement. Je commence à me questionner pour savoir si plusieurs ne comptent pas là-dessus pour gagner la victoire et rester à regarder et à admirer seulement.
Imaginez : Voici une belle, une grande et heureuse surprise. Un bon vieux Créditiste, mais encore dans la fleur de l'âge, il a réussi à prendre un abonnement à Vers Demain. Et ça lui a donné le goût en même temps de faire une souscription pour Vers Demain. Vous pouvez être assurés que c'est toute une victoire, presqu'un petit miracle. Ça pourrait bien être le départ pour que ce Créditiste donne un autre bon coup de main. Il en a toutes les qualités, et il est secondé par son épouse. Créditistes, nous avons besoin de vous, et le Ciel vous bénirait.
Combien de bons vieux Créditistes pourraient faire comme lui ! Mes bons amis, vous en seriez heureux. Ce serait la victoire !
L'heure est-elle arrivée pour que nos bons vieux Créditistes, encore dans la fleur de l'âge, ou encore solides physiquement, l'heure est-elle arrivée pour qu'ils donnent encore un bon coup de main à l'apostolat ? Ce n'est pas bien difficile de solliciter l'abonnement pour Vers Demain autour de soi. Vers Demain est si bien fait, si instructif et si nécessaire ! Bon succès ! On y va, n'est-ce-pas, en 1995 ? Pour sauver nos enfants, la patrie. Bien chers Créditistes, en plus vous aiderez notre chère Eglise, tellement travaillée par les ennemis. Vous aiderez notre cher Pape Jean-Paul II, vos évêques, nos prêtres. Vous serez un bel exemple à tous les fidèles.
Notre Pape demande d'abolir les dettes. Monseigneur Kraszewski a édité en polonais le livre "Sous le Signe de l'Abondance". Un évêque d'Afrique écrit de nouveau à notre directrice pour lui donner le pedigree des dix personnages à qui il nous avait demandé d'envoyer l'abonnement à Vers Demain et de notre littérature. Ce sont toutes des personnalités en haute fonction et toutes bien disposées et suivies par monseigneur.
Monseigneur commence sa lettre par les souhaits de l'année : "Souhaits pour vous, madame, votre cher époux, pour tous vos amis et collaborateurs généreux et enthousiastes au service de Dieu et pour l'œuvre admirable du Crédit Social !"
Bien entendu que mademoiselle Tardif a envoyé immédiatement à ces personnages toute la littérature demandée et avec grand plaisir et empressement.
Notre ami et responsable pour le Crédit Social en Nouvelle-Zélande, monsieur Edward Tapp, nous écrit pour nous dire qu'il a rencontré un évêque des plus hauts placés du pays qui lui a dit : "Je suis très, très impressionné par les écrits, le contenu du journal « Michael »." Nous lui avons alors envoyé notre littérature. Monsieur Tapp était venu nous aider à bâtir la Maison Saint-Michel ; en travaillant, il chantait des cantiques à Notre-Dame, tout le long de la journée.
Un prêtre, dans une paroisse ukrainienne, au Québec, est créditiste. Et il souscrit pour aider l'œuvre.
Des évêques d'un peu partout, à travers le monde, secondent notre travail. Chers Créditistes, je vous dis tout cela pour vous encourager. Ces notes d'évêques et de prêtres mettront des gens dans de bonnes dispositions, certainement. Mais il faut que chacun de vous compte sur lui-même pour que nous arrivions au Crédit Social. C'est aux laïcs à travailler pour réformer le temporel. Ne vous découragez jamais, et soyez toujours conquérants.
Pierre Marchildon, un remarquable apôtre à plein temps, dit : "La victoire est toute proche. Le Bon Dieu attend que nous acceptions de nous donner, de tout donner. Et Lui và donner la victoire."
Un jeune Portugais, bien bâti, d'une vingtaine d'années, étudiant à l'université de Toronto, dit que les vrais professeurs en économie, ce sont les Créditistes. Ce jeune aime beaucoup faire la Croisade. Il est venu à notre assemblée du 4e dimanche du mois, à Rougemont.
Un professeur en économie, de Kitchener, Ontario, dit :'L'Imprimerie Royale doit créer l'argent pour le pays.'
Un homme d'affaires de Toronto, après avoir reçu la visite de Melvin Sickler, Plein-Temps, qui allait voir ce jour-là les hommes d'affaires, cet homme d'affaires dit : "Aujourd'hui, c'est un ange de la Justice Sociale qui m'a visité."
Aux professionnels, aux instruits, qui ont des questions, des questions à n'en plus finir, à poser sur le Crédit Social, Melvin Sickler répond : "Instruisez-vous. Et surtout dévouez-vous à répandre cette grande vérité du Crédit Social, comme l'a fait Maître J. Ernest Grégoire, avocat, notaire, professeur d'université, et diplômé de plusieurs universités, et portant combien d'autres titres ! Ce qui ne l'empêchait pas d'atteindre 300 à 400 abonnements à Vers Demain à chaque année. Professionnels, c'est de l'apostolat dont vous avez le plus besoin."
Monsieur Mark Lawyer et madame ont quitté leur emploi, leurs amis, pour suivre le Bon Dieu. Madame dit :'Je veux suivre l'exemple de mon père, Emile Roy, comme apôtre dans Vers Demain. L'œuvre de Vers Demain fait comme saint Jean-Baptiste. Elle prépare la venue du Christ dans le monde. Cette fois, c'est la deuxième venue dans la gloire. Ne restons pas au milieu du monde. Nous devons prier sans cesse. Mon père m'a appris, madame Mercier, à vous aimer comme une mère. Merci à vous et à mon père. Je vous aime et je vous respecte. Saluts à tous les amis à Rougemont ! Nous ne connaîtrons qu'au Ciel la grandeur de Vers Demain. À ceux qui me posent des questions et des questions, je réponds : J'ai 5% de connaissances et 95% de cœur. Aidez-moi à faire connaître cette grande lumière, et vous comprendrez tout."
Louis Even écrivait dans son premier numéro de Vers Demain : "Le peuple est très facile à éduquer. Nous formerons une élite de plus en plus nombreuse pour lancer de nouveaux courants dans la marche de l'histoire."
Et Louis Even s'est lancé totalement. Il a quitté son emploi en pleine crise. Il était père de famille, sa femme et 4 enfants. Il a compté sur la Divine Providence. Créditistes, c'est par ces sacrifices de Louis Even que vous avez pu connaître cette belle lumière du Crédit Social. Imitons notre fondateur.
Louis Even écrivait aussi dans la première édition de Vers Demain : "Nous voulons une orientation politique sociale, temporelle, où l'homme puisse s'épanouir. C'est une mission purement catholique. "À notre assemblée du 22 janvier, il y en a un qui a dit : "Quelle armée de Pèlerins-guerriers, notre Louis Even a montée à travers le monde !"
Créditistes, vous êtes de vrais professeurs, vous formez et vous levez une véritable élite.
À la même assemblée, un autre a dit : "Atteignez votre objectif de 1000 abonnements dans l'année, la victoire est au bout."
M. et Mme Lucien Parenteau, de Rivière-à-la-Paix, Alberta, envoie 31 abonnements, et ils écrivent :'Monsieur Gail Bush est venu chercher deux paquets de circulaires. Cet homme est vraiment dans le ton. Il fait la croisade. C'est fort possible que nous ayons d'autres travailleurs avec nous. Bonne, heureuse Année, et grand succès dans l'abonnement ! souhaitons un grand changement dans notre système bancaire. Que notre gouvernement ait le courage d'appliquer le Crédit Social ! Ils n'ont pas d'autre alternative, c'est le Crédit Social ou la faillite complète du système actuel dans notre pays. Le major C. H. Douglas disait : Ce système tombera de lui-même - Serait-il sur le point de tomber ? On le dirait bien. Voici 31 abonnements et 7 à 8 feuilles de pétitions contre la TPS et pour le $12,000 à la mère, à maller les pétitions. Commandes de journaux, circulaires."
Armand Albert, Léola Albert, de vrais Bretons, envoient 31 abonnements. Croisade, pétitions, des tenaces et solides piliers.
La même journée, nous avons reçu de Cambridge-Kitchener, de madame Henri-Louis Roy et d'Yves Potvin, 29 abonnements. Madame Roy nous donne l'exemple à tous. Elle encourage ses deux fameux Plein-Temps, Bernard et Diane. Elle sort avec Yves Potvin, fils de madame Gilbert Potvin, de Montréal. Yves est un précieux appui. Par là d'autres et tenaces piliers.
M. et Mme André Labonté, des infatigables, sont venus porter 59 abonnements. Madame Labonté dit :'Nous ne faisons plus partie de la petite jeunesse. Mais nous irons jusqu'au bout malgré la maladie."
Yvette Poirier, Plein-Temps, a fait une autre tournée dans le Saguenay avec Anne Bouchard responsable du Saguenay avec madame Monique Simard. Résultats en abonnements : 133 en 6 jours. Les abonnés apprécient de plus en plus leur journal. À Dolbeau, Yvette avec Lorenzo Lamontagne, une journée 35 abonnements. M. Lamontagne avait à remettre à mademoiselle Poirier 14 abonnements. À Notre-Dame-de-la-Doré, deux heures de porte en porte dans l'avant-midi, dans un rang, avec Réal Dubois : 22 abonnements avant que mademoiselle Poirier prenne son autobus pour le retour.
Mes bons amis, les Plein-Temps tiennent le coup, toujours, toujours à l'action, et depuis combien d'années ! Il ne faut jamais lâcher. Autrement tout arrêterait. Je dis aux jeunes Plein-Temps : "Faites bien attention pour ne pas juger vos confrères Plein-Temps plus vieux. N'oubliez jamais les nombreuses années qu'ils ont données. Et ils continuent malgré leurs forces qui diminuent. Pour n'en nommer que deux, les deux Lefebvre, Marcel, Réjean, ont été sur la ligne de feu dans un dur apostolat, sur la route, pendant 25 ans au moins. Ils étaient les meilleurs abonneurs, et ils continuent. Marcel est Plein-Temps depuis 33 ans. Réjean, depuis 30 ans.
Rolland Tessier, 43 ans Plein-Temps. Thérèse Tardif, Florentine Séguin, 40 ans Plein-Temps. Toutes les deux étaient dans le grand apostolat plusieurs, plusieurs années. Elie-Ange Fortin, 40 ans. Gérard Migneault, 39 ans. etc. etc."
Une chance que nous avons aussi de vaillants apôtres locaux pour nous encourager, nous aider ! Plein-Temps-Locaux, comme les Lawyer, les Julien, Simone Gingras, Bertrand Gaouette, et les autres. C'est cette année, 1995, que nos vrais Créditistes acceptent de devenir Plein-Temps-Locaux, n'est-ce-pas ? M. Gratien Veilleux est parti de chez nous l'autre jour en disant par 3 fois :"Il faut que je devienne Plein-Temps-Local !" Plusieurs autres sont sur le bord de se décider. Il le faut. Tout le monde est de plus en plus prêt à joindre nos rangs. Il faut les embarquer.
M. et Mme Lawyer sont rendus à 3000 abonnements pris depuis le congrès. Ils sont plus que Plein-Temps-Locaux. M. et Mme Paul-Emile Julien, dépassent de beaucoup les 2000 abonnements.
Nos deux Plein-Temps français, sont présentement en Suisse. Leur premier rapport d'abonnements : 10-28-40-2-28-17-20. Total : 145 abonnements en 7 jours. Félicitations ! Ils sont très bien reçus par les Suisses qui sont bien ouverts à la cause.
Madame Marie-Thérèse Gauthier, de Toulon, sud de la France, tient bon. Elle envoie 12 abonnements. Elle fait signer des pétitions, pratique la croisade, elle encourage le monde dans ses visites, elle est tenace. Aussi, elle distribue des circulaires.
M. et Mme Auguste Jeannière, M. et Mme Jean Burgaud font tout un travail, leur équipe est toujours vigilante. Bien d'autres Français sont de plus en plus créditistes et apôtres. Là aussi c'est la danse des circulaires : Au-delà d'un million. Madame Solange Fessart, Beauvais, les aide beaucoup comme recluse souffrante. Elle ne vit plus que pour le succès de l'œuvre, offrant ses sacrifices. Elle est bien heureuse des deux Plein-Temps français et de tous les apôtres qui lèvent à travers la France, la Belgique, l'Allemagne, la Suisse. Bon succès !
Dans notre pays, c'est 13 millions de circulaires de 16 pages que nous devons envoyer dans les maisons. Plus de 3 millions sont déjà rendues. La semaine dernière, c'est 625,000 qui partirent pour Cambridge-London-Sarnia-Windsor. Cette semaine, encore 625,000 sont en partance pour Toronto. C'est la circulaire qui invite Jean Chrétien à créer l'argent. La province de Québec est presque totalement couverte. Pour financer le tout, papier, imprimerie, distribution, nous comptons sur saint Joseph, notre grand pourvoyeur et sur nos généreux bienfaiteurs créditistes.
Pour imprimer, cela se fait à la Maison Saint-Michel avec nos Plein-Temps bénévoles et des Locaux bénévoles qui donnent des semaines. Nous venons d'avoir l'aide de Célestin Marchildon et François Gignac, de Lafontaine, Ontario ; de Raymond Bussière, Cap-de-la-Madeleine ; Luc Audet, Sherbrooke ; Denis Brault, Montréal ; Jocelyn Blais, Marcel Blais, région Lac Mégantic. Ces donnés-là ont fait une semaine championne : 700,000 circulaires de 16 pages, soient 1,400,000 de 8 pages, en 6 jours. Quelle besogne ! Du papier et de l'encre ! Ces apôtres fonctionnaient sur trois chiffres, ne laissant leur travail que pour aller manger aux repas. Créditistes, mettez donc dans votre programme de venir nous aider à l'imprimerie.
Roger Tardif et Jacques Lafrenière se chargent de couvrir eux-mêmes Trois-Rivières. Cela coûterait $1,200 pour la distribution dans les postes ou les compagnies. Nos bons apôtres sauvent à Vers Demain cette somme-là. Et leur façon de distribuer est beaucoup plus efficace. Bravo, Roger et Jacques !
M. et Mme Bussière se chargent du Cap-de-la-Madeleine. Bravo !
Nos circulaires changent la mentalité de la population. Et le journal Vers Demain organise la population, il forme la plus belle famille à travers le monde. Cette semaine il s'est pris 1,204 abonnements. En route, mes bons amis, pour les semaines de 2,000 abonnements !
À la radio de Toronto, des députés libéraux d'Ottawa ont dit au ministre des Finances Paul Martin, que c'est fou de penser d'augmenter les taxes fédérales.
Le journal « Toronto Star » écrit : "Si le ministre Martin augmente les taxes, ça va être une révolte contre les taxes dans tout le pays."
Au Manitoba et dans l'Ontario, les gens à la retraite disent qu'il va y avoir une révolution si les pensions sont coupées.
Dans le journal « The Star », Toronto, l'ancien ministre de la Défense, dans le cabinet de Trudeau, Paul Hellyer, a dit dans un article, le 13 décembre 1994, que l'économie a besoin d'une infusion d'argent créé par le gouvernement pour stimuler la croissance sans augmenter la dette. Il ajoute que l'argent créé par les banques est un argent d'esclavage, qui fait que toutes les provinces travaillent pour le profit des banquiers.
Alain Dubuc, dans le journal « La Presse », Montréal : "Un pays endetté qui emprunte, augmente sa dette, donc ses intérêts, et par conséquent ses emprunts. C'est un pays qui, tôt ou tard, va péter."
Notre député provincial d'Iberville, Le Hire, écrit dans "La Presse" qu'un système qui nous endette continuellement nous mène tout droit à la faillite.
Kimon Valaskaris, journaliste de « La Presse », écrit que le nouveau gouvernement fédéral doit être capable d'innover et de s'éloigner des sentiers battus pour régler la dette, régler le déficit.
« La Presse », jeudi, 19 janvier 1995.'La dette est un des principaux problèmes qui s'opposent à la séparation du Québec. "
Reuven Brenner, journaliste : "En premier lieu, le Québec et le reste du Canada doivent mettre de l'ordre dans leurs affaires financières avant de se lancer dans quelque nouvelle aventure que ce soit !"
Créditistes, vos fameuses circulaires, distribuées par millions, instruisent le peuple de bas en haut, et les journalistes, les journaux reflètent la situation.
"La bataille finale pour le christianisme sera au sujet du problème de l'argent. Et jusqu'à ce que ce problème soit résolu, il ne peut y avoir d'application universelle du christianisme." Honoré de Balzac
2,000 abonnements par semaine
Il faut arriver tout de suite aux semaines de 2,000 abonnements. C'est la base de toutes nos actions dans l'œuvre. 2,000 abonnements, cela veut dire plus de Créditistes à l'apostolat. C'est là le secret du salut de notre pays, de nos enfants, de notre Eglise, de nos écoles.
Bon succès !
Gérard Mercier, directeur