Chaque pays doit créer son argent
Finies les dettes publiques
Le système d'argent-dette a assez de morts à son crédit pour en crever
par Gérard Mercier
La semaine du 17 avril a donné 1995 abonnements, et celle du 24 avril 1833 abonnements. Bravo ! Et mille félicitations ! C'est quelque chose pour décider les admirateurs et pour les convertir en imitateurs.
Tous ces efforts serviront pour libérer notre pays des griffes de Lucifer, et pour distribuer à tous les pauvres du monde l'abondance voulue par Dieu. À bas Lucifer et vive le Christ-Roi ! Que le Christ devienne au plus vite le Roi de notre pays et de tous les pays ! Vers Demain mène le combat pour établir sur la terre le Royaume de l'Immaculée. Ce sera en enlevant la terre des mains de Lucifer l'ennemi de Marie. Ce sera en détruisant la dictature monétaire qui combat le plan de Dieu. Notre vocation est grande. Vers Demain est le chevalier par excellence pour abattre le contrôle de cette finance internationale qui nourrit les guerres et les crises, qui tuent des millions d'êtres humains immolés sur l'autel de Mammon.
Nous y arriverons bientôt. Abonnons à notre fameux journal Vers Demain en toutes occasions. Nous ne comprendrons jamais assez le rôle que joue le journal Vers Demain. Relisez attentivement les sages conseils des Papes que voici :
Le 10 novembre 1920, Benoît XV recevait en audience Mgr Petite, grand vicaire de Genève. Celui-ci, exposant l'état religieux du diocèse, signalait l'urgence de bâtir plusieurs églises pour suffire aux besoins des fidèles. Benoît XV l'interrompit et lui dit : "Non ne bâtissez pas ; auparavant, il faut assurer, développer votre journal. C'est l'œuvre la plus importante."
Le Pape Pie X disait un jour à l'abbé Ciceri : "Le quotidien catholique, c'est l'œuvre qui accote toutes les autres." Pie X a dit aussi : "En vain vous bâtiriez des églises, vous fonderiez des écoles, toutes vos bonnes œuvres, tous vos efforts seront détruits si vous ne savez pas manier en même temps l'arme défensive et offensive de la presse catholique."
Créditistes, il faut se convaincre de l'importance de monter Vers Demain à 100 000, à 125 000 abonnés. Croyons en cela et attelons-nous-y, et faisons-le comprendre autour de nous. Celui qui s'abonne aide le Mouvement. Faites attention, ayez toujours de bons mots pour encourager l'abonnement à Vers Demain.
Attendu que notre force politique ce sont les circulaires. Mais sans Vers Demain nous n'aurions pas de circulaires, et notre fameux Mouvement serait mort. Il faut plus que des Créditistes. Il faut des apôtres. Notre province est pleine de Créditistes assis. Prions et bougeons pour que ces derniers deviennent apôtres. C'est Vers Demain qui nous a faits créditistes. Plus Vers Demain sera répandu, plus abondantes seront les circulaires. Si nous avions eu un Vers Demain à 100-120 000 abonnés, c'est 80 millions de circulaires que nous aurions mises dans les portes. Les apôtres pour réaliser cela sont la plus grande force qui met en branle les forces du Ciel.
Paroles de C.H. Douglas : "La foi sans les œuvres, c'est la mort. Cela n'a aucune importance qu'un grand nombre de personnes croient dans la vérité du Crédit Social, ce qui compte, c'est ce que ces personnes sont prêtes à faire pour le Crédit Social."
Dans ma lettre du mois d'avril, je vous écrivais que je pensais avoir d'intéressantes nouvelles des Plein-Temps locaux à vous donner bientôt. Eh bien ! ils ne nous ont pas déçus. Voici :
Toujours bien surprenants et encourageants les résultats de nos Plein-Temps locaux d'Ottawa-Hull-Gatineau ! Ce n'est pas ordinaire ce qu'ils font là, cela tient du Ciel. Vous remarquerez que mesdames Julien et Gingras sont des grand'mamans. Elles font des sacrifices admirables. Re-mercions le Ciel. Vous pouvez tout gagner.
Notre Plein-Temps français, un Breton, Christian Burgaud, dit privément à quelques bons Créditistes : "Tant que nous n'avons pas tout donné, nous n'avons rien donné." Les Créditistes sont heureux d'entendre de si belles paroles.
Dans le mois d'avril, Paul-Émile Julien : 468 abonnements ; madame Paul-Émile Julien, 426 abonnements ; madame Simone Gingras, 321 abonnements. Ils donnent tout jusqu'au bout de leurs forces. Madame Gingras sort à la croisade 5 jours par semaine, et elle ne manque pas d'insister pour faire réciter la dizaine de chapelet dans les maisons. Elle dit que les milliers d'abonnements à Vers Demain et nos 20 millions de circulaires vont augmenter les « apôtres de bien penser », ainsi nommés par la sainte Vierge à San Damiano.
Madame Julien et madame Gingras sont deux grand'mères modèles. Aussi madame Henri-Louis Roy qui sort à la croisade même quand il pleut et quand il grêle. Elle a eu 13 enfants. Elle envoie 21 abonnements.
Madame Alphonse Guillemette, mère de 12 enfants, est très, très malade. À sa fille Diane, qui est Plein-Temps et qui est allée voir sa maman pendant 2 jours pour l'encourager, sa mère lui dit : "Retourne à ta mission si importante." Merci, chère madame Guillemette pour votre appui et l'exemple que vous donnez de vos bons conseils malgré vos grandes souffrances.
Marcel Lefebvre et nos deux Plein-Temps de France, Christian Burgaud et Franck Kretz, ont fait 10 jours de croisade et d'assemblées, dans la région de Lac Mégantic, Beauce, St-Odilon et Thetford. Total 732 abonnements. Ce n'est pas de l'ordinaire ! Que de beaux sacrifices librement consentis ! Christian avec Yves Jacques, des États-Unis, en deux jours : 70 abonnements aux États-Unis. Gratien Veilleux et Christian : 108 abonnements.
Mon leur Veilleux en avait 200 autres pris à l'occasion. Franck Kretz a fait quelquesl jours avec Camille Fecteau de St-Odilon et il ont rapporté de très bons résultats. Les autres Créditistes de St-Léon et de Si-Georges sont sortis chacun à leur tour. Ils ont bien apprécié le passage des deux Français.
Bertrand Gaouette, un vrai Plein-Temps local. Il a pris tout seul, dans son mois d'avril au-delà de 100 abonnements dans son comté de Stanstead. Et au mois de mai, il est parti pour trois semaines au Nouveau-Brunswick, avec comme objectif, 300 abonnements. Ce qui lui a fait 400 abonnements pour la gerbe du 22 mai. Il n'a pas peur des sacrifices, la cause en vaut la peine, dit-il. Bertrand est apôtre à fond, il fait beaucoup de bien partout où il passe. Il a sa famille. Apprécions-le, imitons-le.
La bombe menace d'éclater chez Claude Provençal et Marc Doyon de Magog. 600 à 700 abonnements qu'ils prendront, c'est ce que j'ai compris à la magnifique assemblée chez M. et Mme Marc Doyon, de Magog.
Nous voyons deux Créditistes qui se ressemblent, l'un à la Rivière-à-la-Paix en Alberta, l'autre à St-Lambert de Lévis. Créditistes en plénitude, apôtres et propagandistes à fond. Rien ne les arrête : Distribution de circulaires, signatures de pétitions, banderoles accrochées, pancartes de toutes sortes, leur auto, leur maison avec drapeaux, béret blanc sur tête, à l'action jour et soir. Ils aiment faire tout cela, et ils aiment aussi leur fameux journal Vers Demain.
Celui de Rivière-à-la-Paix s'appelle Lucien Parenteau. Il nous envoie 63 abonnements. Il commence sa lettre comme ceci :
"Fameux ! fameux ! voilà ce que je peux dire de la croisade que j'ai faite à McLennan, en Alberta, avec John Thiessen. Le monde est de plus en plus contre les taxes. Notre Premier ministre Ralph Klein perd beaucoup de popularité. J'ai pris 2 abonnements de 4 ans dans la même maison. D'autres travailleurs s'ajouteront avant longtemps. Avec eux nous entreprendrons Wembley. J'ai reçu les 20 000 circulaires. Je vous envoie une découpure de journal qui montre deux insignifiants qui vont collecter l'impôt. Nous allons redoubler d'ardeur et nous les battrons avec nos 20 000 circulaires et notre porte en porte. En peu de temps, les circulaires seront toutes distribuées et dans toutes les maisons."
Émile Boutin, qui demeure au Québec, à St-Lambert de Lévis, il est comme Lucien Parenteau, grand distributeur de circulaires, afficheur de toutes sortes, pancartes, banderoles, pétitions. Il envoie 31 abonnements. Lucien Parenteau et Émile Boutin, deux forts Créditistes, propagandistes à fond, ils se sacrifient à l'année longue pour leur belle cause. Ils sont lancés à l'abonnement. Ils ont compris et surtout ils ont du cœur pour être des apôtres.
Pierre Boudreau, Villeroy, comté Lotbinière, envoie 44 abonnements. Les Boudreau de la même famille se choquent et se lancent. Gilles Boudreau, à St-Albert, près d'Edmonton, en Alberta, approche les 100 abonnements. Il est décidé lui aussi.
Les Boudreau font la joie de leur père et mère, monsieur et madame Rhéal Boudreau, de Granby.
"Quand on marche avec les Burgaud et compagnie, on se sent très petit en leur présence... Je regrette que monsieur Burgaud n'ait pas pu rester quelques jours de plus, parce qu'il nous donne le feu et l'envie d'être Plein-Temps locaux comme les deux Julien. Il nous en manque un petit peu (pour devenir Plein-Temps local), mais il ne nous en manque pas beaucoup. Un jour — ce jour, il faut qu'il vienne quand même assez rapidement, car nous n'avons tout de même pas vingt ans, ni quarante ans devant nous, avant que nous ne soyons plus capables d'agir, de marcher et prendre des abonnements — il faudrait entrer Plein-Temps locaux bien vite. À chaque jour, quand je récite le chapelet avec ma femme, j'ajoute l'intention « Pour que je devienne un Plein-Temps local à Thetford. » Si nous décidions de faire toutes les portes de Thetford, nous aurions du travail sans arrêter. Moi, ce dont j'ai peur, c'est de m'ennuyer à ne pas travailler, mais il y a du travail de 9 heures du matin à 9 heures du soir au porte en porte à Thetford. On en prendrait des abonnements à Thetford, je vous le dis !
"Thetford c'est une petite ville où tout le monde se connaît, tout le monde connaît Lucien Labrecque, Paul Bernard, etc. C'est agréable de faire de l'abonnement. Je suis sorti à St-Ephrem, c'est toujours gênant de demander à manger, naturellement, parce que des fois les gens peuvent penser des choses : : « Eh, Veilleux demande à manger... » Nous l'avons demandé quand même, puis nous avons été bien reçus et bien nourris. On m'a même donné une belle bouteille de sirop d'érable pour comparer au mien. Alors les Burgaud et les Plein-Temps, tenez bon pour nous soutenir. Merci."
Oui, monsieur Gratien Veilleux, vous avez mille fois raison, il faut que nos bons Créditistes se décident à être Plein-Temps locaux. Que de raisons insignifiantes nous arrêtent ! Saint Michel, il reste peu de temps avant qu'il ne soit trop tard. Aidez nos Créditistes.
Maurice Arsenault et Gérard Dubé, de Jonquière, ont mis 40 abonnements sur la table à l'assemblée de messieurs Rolland Tessier, et Jeffery Kennedy notre nouveau Plein-Temps. Dans leur tournée : Québec, St-Jean Port-Joli et le Saguenay, 6 assemblées. Près de 200 abonnements. 1700 points.
Armand Albert, de Caraquet, N.B., tient parole avec sa sœur infirmière, Léola. Il nous envoie 55 abonnements, et ce n'est que le commencement.
Un avant-midi, nous recevons trois lettres de bons Créditistes de différents endroits, avec chacune 20 abonnements. C'est un indice que bientôt, il y aura un grand réveil chez nos Créditistes ; leurs désirs deviendront enfin des actes créditistes ! "Enfin me voilà en marche pour prendre de l'abonnement à mon fameux journal Vers Demain !" se diront-ils.
Créditistes, un secret : Sortez le démon de votre maison. La maudite télévision.
Vous auriez dû entendre madame Côté-Mercier à l'assemblée du 24 avril : "La télévision fait de tous ceux qui la regardent des esclaves ; elle détruit graduellement notre personnalité, notre mémoire, notre intelligence, notre volonté, et elle amène ses esclaves graduellement à son objectif qui est de faire de nous un troupeau, elle fait chacun aller à la perte de son éternité.
C'est grave ! Voulez-vous être heureux ? Sortez immédiatement ce démon de Votre maison et vous ne vous reconnaîtrez Plus. Vous êtes trop créditistes pour gahler l'enfer dans votre maison."
58 000 circulaires sur le Cap-Breton : « L'lle des Naufragés », « L'impôt inconstitutionnel et 27 millions de Canadiens », soit 116 000 circulaires. Nous ferons des Créditistes avec la population du Cap-Breton, en Nouvelle-Écosse. Le ministre David Dingwall a son comté dans cette île du Cap-Breton. Il faut qu'il apprenne à respecter tous les Canadiens et non pas seulement les pires exploiteurs de tous les citoyens du Canada. Pauvre Dingwall, vous avez attaqué les plus grands défenseurs de toutes les races du pays. Ils donnent leur vie sans salaire pour délivrer les Canadiens de la Haute Finance.
15 à 20 mille circulaires « Impôt inconstitutionnel » avec « 27 millions de Canadiens » pour le Saguenay. Les dames Truchon, Bonenfant, Simard, trois filles de feu Pierre Bouchard, d'Arvida. D'autres se joignent à elles dans une distribution massive sur toute la région de Chicoutimi-Jonquière. Les villes et villages y passent. Madame Bonenfant se charge de voir à faire couvrir les rangs par la poste. Ça marche ! Bravo ! mesdames.
Benoît Deshaies, qui a épousé Ginette Boudreau, qui habite St-Paul entre Granby et St-Césaire, sort à la croisade toutes les fins de semaine. Il a distribué 10 000 circulaires seul sur la ville de Granby. Toutes les portes ont eu leur circulaire, et maintenant Benoît se lance à faire la croisade dans toute la ville. Il veut faire toutes les maisons. Il aura sans doute l'aide de la famille Cright et d'autres. Un homme décidé décide d'autres personnes. Bon succès ! Benoît Deshaies veut rentrer Vers Demain dans tout Granby. Bon et bel objectif. Monsieur Deshaies, pensez à imiter Gratien Veilleux comme Plein-Temps local. Vos beaux petits enfants recevront leur dividende de 800 $ par mois.
À Fredericton, la capitale du Nouveau-Brunswick, Paulette Roy et Mark Lawyer ont fini de distribuer 10 000 circulaires sur Fredericton. Ils en commandent 5 000 autres. Paulette Roy est la mère de notre nouveau Plein-Temps Jeffery.
Paul-Émile Julien a abonné une dame qui travaille aux douanes. Elle a pris 50 circulaires pour distribuer dans chaque bureau.
1. Honneur à Mgr Zbigniew Jozef Kraszewski, Vicaire général du diocèse de Varsovie-Prague, Pologne, pour avoir édité en polonais le livre de Louis Even "Sous le Signe de l'Abondance". Le Ciel gagnera la victoire.
2. Deux ministres libéraux du gouvernement du Québec réclament un revenu annuel garanti pour chaque citoyen du Québec. Le député de Beauce et ancien ministre, Robert Dutil, réclame à la radio 600 $ pour les adultes et 300 $ pour les enfants, par mois. Le ministre Yvon Picotte réclame à peu près la même chose. On en parle de plus : en plus en haut lieu. Les ministres disent que ces idées viennent du journal Vers Demain.
3. Les commerçants de Toronto ragent contre la TPS.
4. À Jonquière, Radio-Mutuel a lu sur les ondes en entier notre circulaire « Impôt inconstitutionnel ». Puis, à la ligne ouverte, tout le monde applaudissait. La radio a ajouté que "Des hommes d'affaires s'organisent pour un recours collectif auprès du gouvernement fédéral afin qu'il rembourse les taxes collectées injustement, hors la loi."
5. P.E. Julien a abonné une dame qui vient de la Roumanie et qui est bien au courant de l'escroquerie des banques. Elle va traduire « L'lle des Naufragés » en roumain.
Un abonné de la région de Sudbury téléphone souvent à la famille Julien pour savoir comment expliquer le Crédit Social ; il s'installe dans un centre d'achats pour distribuer nos circulaires de main à main et faire signer nos pétitions. Il a hâte que monsieur Julien revienne d'Ottawa pour faire davantage d'apostolat.
Yves Potvin a présenté notre résolution pour que le gouvernement crée l'argent à son conseil municipal de Guelph. Les journaux ont fait de la publicité à son intervention. le maire a voulu l'embêter en lui disant que créer de l'argent ferait de l'inflation. Monsieur Potvin lui a répondu que lorsque la municipalité emprunte une piastre et qu'elle est obligée de rembourser trois piastres à cause des intérêts, ça c'est de l'inflation. Le maire n'a pas osé répliquer. Après l'assemblée du conseil, un avocat qui était présent, est allé féliciter monsieur Potvin d'avoir "bouché" le maire. Yves Potvin couvre à noir sa ville de Guelph avec nos circulaires "Pour que le gouvernement crée l'argent", et il continue à prendre de l'abonnement en toutes occasions, et il sort à la croisade toutes les fins de semaine.
Nos Italiens MM. Marra et Federico, de Toronto, ont fait signer des milliers de pétitions, ils ont recueilli 180 $ en dons et pris des abonnements. Ils se lancent. Une journée Roger Gingras avec monsieur Marra : 34 abonnements ; ils s'organisent pour traduire en italien « L'impôt fédéral inconstitutionnel ».
L'équipe régulière de Toronto continue la croisade à toutes les fins de semaine et souvent sur semaine.
Il y a beaucoup de déclarations contre le système bancaire dans l'Ouest canadien à la suite de nos circulaires. Plusieurs groupes s'unissent à notre combat : Pousser pour que le gouvernement crée l'argent.
Portons fièrement notre beau béret blanc ! Hissons nos beaux drapeaux, pancartes ! Nous menons la plus grande bataille de notre histoire. Faites un beau mois en abonnant à Vers Demain continuellement.
Des jeunes rentrent Plein-Temps. Vivent les Colonels, les Lieutenants-Colonels et tous les apôtres de Vers Demain !
Amenez toutes vos connaissances à la plus belle assemblée de Rougemont le 26 juin. Organisez automobiles, mini-bus, autobus. Ensemble pour que le pays frappe sa monnaie ! À bas l'argent mondial ! Un très grand nombre de chapelets ! Et toujours plus d'abonnés à Vers Demain !
Gérard Mercier, directeur
Une bonne créditiste de Thetford, madame Léon Grégoire, se fait demander : « Es-tu encore là-dedans ? » Madame Grégoire répond : « J'ai appris à lire l'heure, je sais s'il est midi ou minuit. Quand même vous me diriez qu'il est minuit quand il fait clair, vous ne me gagneriez jamais.
Le Crédit Social c'est la même chose, je le connais, je ne peux pas le nier, je suis marquée pour la vie. »