En 1913, le gouvernement fédéral du Canada a cédé aux banques privées son pouvoir souverain de créer l'argent du pays. Ainsi le gouvernement fédéral et les gouvernements provinciaux du Canada, devenus esclaves des financiers, s'endettent envers les banques qui demandent de rembourser en plus du capital des intérêts qui n'ont jamais été créés. Les financiers consolident leur pouvoir en fabriquant des dettes impayables sur le dos du peuple canadien.
Au nom du l'équilibre budgétaire, au nom du déficit zéro, les gouvernements, complices avec les financiers, coupent dans les soins hospitaliers, dans les services publics et sociaux. Les contribuables voient leurs compte de taxes et les impôts augmenter considérablement. Et les politiciens vendus nous chantent toujours que la dette finira par être payée.
Que faut-il conclure ? « Une réforme structurelle du système financier, comme le dit le Pape Jean-Paul II, est l'une des initiatives les plus urgentes et nécessaires. »
Devant ce chaos économique, crise artificielle suscitée par les banquiers non seulement au Canada mais dans le monde entier, nous sommes en face de deux alternatives : le gouvernement mondial ou l'application du Crédit Social dans chaque pays.
Les financiers sèment actuellement le désarroi dans les pays par la restriction du crédit. Ils créent une situation économique intenable pour forcer les pays à accepter les structures du gouvernement mondial.
Que chaque pays reprenne son droit de créer son propre argent, comme le prêche le Crédit Social. Ainsi chaque pays échapperait au gouvernement mondial par leur autonomie financière.
En cette année dédiée au Père Éternel, prions le bon Dieu dans sa grande Miséricorde divine de délivrer tous les pays de l'esclavage de la Haute Finance. Que le Canada donne l'exemple à tous les pays du monde, en appliquant l'article 91 de la Constitution Canadienne qui lui permet d'émettre son propre argent.
