Nous puisons les nouvelles suivantes dans "L'Écho de Medjugorje", de décembre 1992 (18 Allée Thévenot, 30100 Dôle, France) :
De Sarajevo une dame a pu envoyer un message au moyen d'une radio amateur : "Nous n'avons même plus un petit morceau de pain. On arrive à manger de l'herbe. Dans les appartements les gens râpent le bois du parquet pour faire de la soupe. Les soldats s'emparent des convois de vivres."
Le Haut Commissariat pour les réfugiés prévoit pour cet hiver en Bosnie 400 000 morts de faim et de froid parmi lesquels 100 000 enfants. Nous ne devons pas permettre qu'on arrive à cela ! C'est Jésus qui agonise encore en eux. Cet hiver nous pouvons renoncer à une partie de nos activités pour pouvoir participer quotidiennement à la sainte Messe. Notre-Dame a dit à Mirjana : "Le plus grand privilège qui a été donné à l'homme sur cette terre est la Messe."
Pourquoi on n'a pas pu bombarder Medjugorje. Quelques pilotes, sauvés en parachute quand leur avion a été touché, ont été capturés par les forces croates. Ils ont assuré n'avoir pu bombardé Medjugorje parce que, quand ils s'en approchaient, ils ne voyaient plus rien : une sorte de nuée la cachait à leurs yeux.
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"Seul le Christ peut sauver Russie et les jeunes ; ils sont aussi l'espérance de notre terre qui fut jadis la Sainte Russie, puis est devenue la terre des martyrs. Grâce au sang des martyrs, elle pourra devenir une terre de nouveaux saints". Ainsi s'est exprimé l'Archevêque de Moscou, Mgr Kondrusiewicz, qui a répondu à la demande des jeunes turinois rencontrés le 25.10.92. (Écho de Medjugorje, décembre 1992)