La Constitution canadienne donne au gouvernement fédéral
Le droit et le pouvoir restrictifs de créer la monnaie et le crédit pour le pays De distribuer cet argent selon les besoins des gouvernements et du peuple
Finies les dettes publiques ! Finis les déficits ! Finies toutes les taxes !
par Gilberte Côté-Mercier
On ne parlera plus de séparation des provinces !
Monsieur le Premier Ministre, qu'est-ce que vous attendez pour accomplir votre devoir de chef ? Ça presse ! C'est urgent ! C'est en 1867 que fut présentée la Constitution canadienne. Elle reconnaissait le gouvernement fédéral comme le roi du Canada. Le roi de France, Louis IX disait : "Le premier devoir d'un roi est de créer la monnaie pour la bonne marche de l'économie de son peuple."
Le premier devoir de notre gouvernement fédéral est de créer et de distribuer la monnaie pour la bonne marche de l'économie du peuple canadien. Et le chef du fédéral, c'est vous-même, Jean Chrétien. C'est donc vous qui avez le devoir de mettre en marche immédiatement la création et la distribution de l'argent pour le bon fonctionnement de l'économie du Canada.
Le texte constitutionnel ajoute que ce pouvoir sur l'argent est "restrictif". Il ne peut pas être passé à quelqu'autre personne ni organisation. Mais, en 1913, notre gouvernement fédéral d'alors a légué illégalement aux banques privées ce droit et ce pouvoir de créer et distribuer la monnaie et le crédit au Canada. Et depuis 81 ans, chez nous au Canada, le fédéral ne crée plus la monnaie ni le crédit. Ce sont les banques privées qui remplissent cette fonction illégale. Ces banques privées créent elles-mêmes l'argent nouveau. Elles font des prêts avec cet argent, ce crédit, qu'elles fabriquent elles-mêmes avec des chiffres-argent. Les banques basent cet argent nouveau sur les richesses réelles du Canada et sur les produits et services offerts par le peuple de notre temps. Chiffres-argent basés sur les biens qui sont des richesses-réalités. Nos richesses-réalités nous viennent de Dieu Créateur et de nos ancêtres bâtisseurs du pays. Richesses auxquelles s'ajoutent les richesses actuellement fabriquées par les travailleurs actuels de notre peuple.
Les banques privées, lorsqu'elles opèrent la création de l'argent, elles prêtent cet argent aux différents gouvernements, en hypothéquant tous les contribuables du pays, qui devront payer des taxes pour rembourser cet argent aux banquiers. Les taxes remboursent capitaux et intérêts. Et les banques n'ont pas créé et ne créeront pas les intérêts. Ces intérêts non créés engendrent de grands déficits qui font la torture des ministres des des Finances, les rendant obligés d'augmenter toujours les taxes pour combler ces déficits. Ce qui permet aux banques de s'emparer graduellement des biens, meubles et immeubles, entreprises et maisons familiales, et autres biens qui appartiennent réellement aux citoyens. Les citoyens avaient gagné ces biens par leurs sueurs. Ils ne les avaient volés à personne. C'est la banque qui est voleuse.
Voilà la grande escroquerie de notre siècle opérant dans tous les pays du monde. C'est le premier problème d'aujourd'hui à être résolu par les gouvernements-rois. "C'est la plus grande escroquerie de l'histoire du monde", disait Louis Even. Il faut que les responsables des gouvernements des pays passent à travers de cette escroquerie, qu'ils la fassent disparaître, en enlevant aux banques privées le droit et le pouvoir de créer elles-mêmes la monnaie et de la prêter aux gouvernements et aux individus.
Voilà pourquoi notre Paul Martin, ministre des Finances à Ottawa, se voit incapable de présenter un budget honnête et acceptable sans se faire blâmer avec raison. Martin est obligé d'augmenter les taxes en diminuant les services. Ce qui va enchaîner tous les contribuables dans de grands troubles d'argent, dans des faillites, le chômage, la perte de leurs biens, la pauvreté, même une grande misère. On dit que le Canada si riche naturellement, ressemble maintenant aux pays du tiers-monde.
Monsieur le Premier Ministre, Jean Chrétien, il vous est impossible d'améliorer un tant soit peu la situation si vous ne reprenez pas immédiatement et courageusement vos droits et pouvoirs de faire créer l'argent par la Banque du Canada fondée pour ça. Elle doit créer l'argent sous le contrôle du gouvernement fédéral. Si vous n'agissez pas tout de suite, monsieur Chrétien, vrai souverain du Canada, si vous ne le faites pas, c'est que la volonté vous manque. La volonté, le courage et l'énergie qui vous manquent.
La Banque du Canada fut fondée en 1934 pour créer et distribuer l'argent pour mettre en bonne marche l'économie du Canada. Cela sous la gouverne du gouvernement fédéral. Depuis 1934, la Banque du Canada n'a jamais fonctionné selon son droit et son devoir d'origine. Il est temps d'y voir, monsieur Chrétien ! La Banque du Canada est, depuis 60 ans, esclave des banques privées, quand elle devrait obéir au gouvernement fédéral en se faisant créatrice de tout l'argent nécessaire pour payer directement la construction des travaux publics et payer les administrations fédérales, provinciales, municipales, scolaires, enfin les administrations publiques. La Banque du Canada ne prêtera pas pour les dépenses publiques, elle donnera.
Aussi, la Banque du Canada devra avancer l'argent aux entreprises privées par des prêts sans intérêt.
Et elle devrait garantir le nécessaire à tous les Canadiens par un dividende de $800 par mois donné sans conditions. Elle accorderait un escompte sur les prix selon la consommation totale ; l'inflation n'existerait pas. Cet escompte serait justement le contraire d'une taxe de vente.
Alors pour tous les gouvernements il n'y aurait plus de problèmes d'argent. Finies les dettes publiques, capital et intérêts ! Finis les déficits !
Monsieur Chrétien, vous effaceriez tout cela par un acte de volonté. Avec Paul Martin, vous seriez ministres sans troubles ni casse-tête. Il n'y aurait plus de problèmes d'emplois dans un monde qui détruit l'abondance de produits, dans le monde du progrès moderne si avancé, et où les sans-travail, c'est normal et agréable.
Monsieur Chrétien Vous annuleriez toutes les taxes actuelles, à tous les paliers de gouvernements. Les taxes de notre époque, cette escroquerie satanique, universelle, n'existeraient plus dans notre Canada ! Les taxes actuelles vident les porte-monnaie des bâtisseurs d'un pays. Elles exproprient tous les biens des propriétaires du pays. Elles jettent dehors de leur maison familiale, pères, mères et enfants qui s'en vont dans la rue, perdant tout logement et toute autorité donnée aux parents. Les foyers sont livrés aux banques créatrices d'argent-chiffres qui hypothèquent les vraies richesses nécessaires au peuple pour vivre.
Monsieur Chrétien, vous avez devant vous l'unique solution. Appliquez-la sans retard. C'est urgent pour vos responsabilités. C'est urgent pour le bien-être et le bonheur de tout notre peuple. Tous ceux qui ont voté pour votre gouvernement ont remis entre vos mains de ramener la bonne économie chez nous, une économie honnête et juste. Nous comptons sur vous, monsieur Jean Chrétien.
Nous demandons au peuple de se mettre à genoux pour adorer Dieu et pour Lui demander qu'Il donne aux gouvernants force et courage d'accomplir leur devoir de sauver leur pays des problèmes d'argent. Et le Christ règnera sur toutes les nations. Car le Christ est le Roi véritable de l'univers entier.
A genoux avec le peuple, ministres et députés. Vous serez vainqueurs de Lucifer qui règne aujourd'hui sur la terre entière. Un auteur a écrit :'Notre monde d'aujourd'hui est à l'agonie, il souffre de la maladie du péché." Ce sont les péchés de tous, puis les péchés des grands qui entretiennent misère, pauvreté, crises, guerres, suicides, familles brisées, avortements, dans un système d'argent corrompu, pas juste du tout.
Et, chers lecteurs du journal Vers Demain, à genoux vous aussi avec nous. Puis, visitez les maisons pour faire prier les gens et pour les abonner au journal de lumière qu'est Vers Demain contraire aux autres journaux qui servent la Haute Finance. Abonnons tout le monde autour de nous ! Nous serons ce qu'il faut, des porteurs de lumière pour guider le prochain vers la paix, vers la joie, vers le bonheur possible quand le Christ a conquis notre cœur.
Gilberte Côté-Mercier