Ce livre parle du Crédit Social, mais il est loin d’être une somme créditiste. Le Crédit Social, en effet, est toute une orientation de la civilisation et touche au social et au politique autant, sinon plus, qu’à l’économique.
"On oublie, on ne voit pas, on ne veut pas voir qu’il y a des gens mal logés, des gens mal nourris, des salaires insuffisants, qu’il y a des pays tout entiers qui souffrent de la faim. Ce n’est pas chrétien de penser, à plus forte raison de dire; c’est leur faute..."
Son Eminence le Cardinal Jules-Géraud Saliège
Le journal Vers Demain a dénoncé bien des fois les abus des soi-disant organismes de protection des enfants, tels que "Protection de la Jeunesse" au Québec, ou "Children's Aid Society" en Ontario, qui volent littéralement les enfants aux parents, en accusant faussement ces derniers de toutes sortes de crimes contre leurs enfants, alors que ces mêmes parents veulent élever leurs enfants d'une manière digne et chrétienne.
Les cas cités dans Vers Demain ne sont pas limités au Québec ou en Ontario ; le même système persécuteur existe aussi aux États-Unis, avec des effets tout aussi maléfiques. Par exemple, un reportage à l'émission de télévision américaine "20/20" du 30 juin 1995, au réseau ABC, démontrait jusqu'à quel point les thérapeutes, psychologues et autres travailleurs sociaux peuvent abuser de leur pouvoir pour accuser injustement, et mettre en prison, d'honnêtes parents.
Le reporter, Allan Goldberg, a présenté le cas de Donna Smith, du Maryland, qui, lorsqu'elle avait 12 ans, avait des problèmes de concentration à l'école.
Elle fut envoyée chez une thérapeute, qui lui a demandé à toutes les deux semaines, pendant deux ans et demi :
"Est-ce que ton père t'a agressée sexuellement ?"
Puisque Donna répondait toujours non, la thérapeute lui disait : "Tu ne devrais pas le nier, car c'est clair que c'est la cause de tous tes problèmes."
Fatiguée de toutes ces questions et entrevues, Donna se dit en elle-même : "Très bien, je vais admettre ce qu'elle veut, et alors, elle me laissera tranquille, et je pourrai retourner à la maison avec mes parents."
Comme vous vous en doutez bien, ce n'est pas tout à fait ce qui s'est passé : neuf policiers se sont présentés chez ses parents pour passer les menottes à son père et l'arrêter.
Donna fut alors envoyée dans un hôpital psychiatrique, où les médecins prétendaient qu'elle avait 69 personnalités différentes ! Ils ont même réussi à lui faire dire que ses parents pratiquaient des rites sataniques sur ses deux jeunes frères !
Après plusieurs années, on a découvert que c'était la thérapeute qui avait mis dans la tête de Donna toutes ces idées et ces fausses accusations, et que ses parents ne lui avaient fait aucun mal, ni à elle ni à ses jeunes frères.
Donna ayant passé plusieurs mois à l'hôpital psychiatrique, les thérapeutes avaient même réussi à la convaincre que son père l'avait réellement agressée. Donna a été hypnotisée pendant plus de 60 heures, et on l'a aussi soumise à différentes drogues.
Donna a maintenant 21 ans, et elle vit heureuse avec ses parents. Son père a gardé beaucoup d'amertune envers le système de la soi-disant protection de l'enfance qui peut faire emprisonner n'importe qui, sans preuve sérieuse. Il poursuit tout le système, mais tous les gens impliqués y compris la thérapeute maintiennent qu'ils n'ont rien fait de mal, qu'ils n'ont fait que leur devoir,... après avoir torturé une famille pendant tant d'années !
C'est bien la méthode des marxistes de faire passer pour bien, le mal qu'ils accomplissent. Sous le couvert du beau nom de "Protection de l'Enfance", ils s'emparent des enfants, les détournent de leurs parents, leur lavent le cerveau, leur enlèvent la foi, les corrompent et en font des révolutionnaires accomplis. On pourrait citer des cas aussi affreux que celui de Donna qui se prodisent en Ontario et au Québec.