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Communisme et juiverie

le dimanche, 15 septembre 1940. Dans Le communisme au Canada

Nous empruntons la documentation suivante au Social Crediter du 3 août 1940. Lui-même la tient de la documentation possédée et utilisée par le Père Coughlin.

Nos lecteurs ont déjà lu, dans de précédents numéros, ce que nous avons écrit sur la part prise par les financiers juifs de New-York dans la révolution russe de 1917. Ce qui suit va prouver que ce ne sont pas des assertions gratuites et, de plus, va montrer les connexions de la maison de New-York avec d'autres d'Allemagne, d'Angleterre, de France, du Japon. Nous sommes en plein dans le sanctuaire des financiers internationaux, internationaux comme les Juifs sans patrie : "Là où est l'argent, là est leur patrie."

Le Père Coughlin réfère à deux sources :

D'abord le rapport compilé par un employé spécial du gouvernement américain, transmis au gouvernement français et classé dans les archives secrètes de l'État-Major de France sous la rubrique : "7-618-6 No. 912 S. R. 11. Transmis par l'État Major de l'Armée Deuxième Bureau".

L'autre documentation est le "Livre Blanc Britannique" relatif à la révolution russe, première édition. Il y eut deux éditions de ce Livre Blanc, présenté pour la première fois par la Couronne Britannique au Parlement anglais en avril 1919. Moins de trois semaines après sa publication, il fut retiré de la circulation et on lui substitua une édition abrégée, de laquelle les documents si intéressants étaient supprimés. On annonça simplement au public que l'édition non abrégée "était épuisée". Mais il arrive que le Père Coughlin possède dans ses voûtes un exemplaire de l'édition non abrégée et il s'en sert.

Pour aujourd'hui, contentons-nous de ce qu'on trouve dans le document américain classé aux archives de l'État-Major français. Le rapport est divisé en huit sections, et on relève ce qui suit dans les sections 1, 2, 3, 4, 6, 7 et 8 :

"Section I — En février 1916, on découvrit pour la première qu'une révolution était fomentée en Russie. Les personnes et maisons financières suivantes sont engagées dans le travail de destruction :

"Jacob Schiff (Juif) ; Guggenheim (Juif) ; Kuhn, Lœb & Cie (maison bancaire juive) dont les directeurs sont : Jacob Schiff, Félix Warburg, Otto Kahn, Mortimer Schiff, S. H. Hanamer (tous des Juifs).

"Nul doute que la révolution russe qui éclata une année après réception de l'information précédente, fut lancée et fomentée par des influences juives distinguées.

"De fait, en avril 1917, Jacob Schiff se vantait, dans une déclaration publique, que c'est grâce à son aide financière que la révolution russe avait réussi.

"Section II — Au printemps de 1917, Jacob Schiff commença à fournir des fonds à Trotsky (un Juif) pour amener la révolution sociale en Russie. Le journal quotidien Forward, de New-York, organe judéo-bolchévique, donna une souscription pour les mêmes fins.

"Par l'entremise de Stockholm, Max Warburg (Juif allemand), fournissait aussi des fonds à Trotsky et compagnie. Les révolutionnaires recevaient encore des fonds du Syndicat Rhin-Westphalie, entreprise juive importante, ainsi que d'un autre Juif, de la "Nya Banken", de Stockholm, puis de Givotsky, Juif dont la fille était mariée à Trotsky. Ainsi s'établissaient les communications entre les multimillionnaires juifs et les prolétaires juifs.

"Section IV — En même temps, le juif Paul Warburg, de la Federal Reserve Board (conseil du gouvernement dans le système bancaire américain), se fit remarquer par ses contacts actifs avec des notabilités bolchéviques des États-Unis. C'est même à cause de cela, et de certains autres renseignements obtenus sur son compte, qu'il ne fut pas réélu au comité de la Federal Reserve.

"Section VI — Judas Magnes, financé par Jacob Schiff, est en contact étroit avec l'organisation sioniste mondiale, Poale Zion, dont il est même le directeur. Le but de cette organisation est d'établir la suprématie internationale du Mouvement Ouvrier Juif. Où l'on voit encore les relations entre les multimillionnaires juifs et les prolétaires juifs.

"Section VII — À peine la révolution sociale éclate-t-elle en Allemagne que la Juive Rosa Luxembourg en assume la direction politique. La révolution se faisait en Allemagne d'après la même technique qu'en Russie. Un des principaux dirigeants de ce mouvement bolchévique international fut le Juif Haase.

"Section VIII — La maison bancaire juive de New-York, Kuhn, Lœb et Cie, est en relation étroite avec le syndicat juif allemand Rhin-Westphalie, avec la maison juive de Paris, Lazare et Frères, avec la maison juive Gunzbourg, de Pétrograde, de Tokio et de Paris ; et toutes ces maisons juives sont en correspondance avec la maison juive Speyer et Cie, de Londres, de New-York et de Francfort, ainsi qu'avec la "Nya Banken", établissement judéo-bolchévique de Stockholm (Suède).

"Il est donc manifeste que le mouvement bolchévique est, dans une bonne mesure, l'expression d'un mouvement juif général, et que certaines maisons bancaires juives sont intéressées dans l'organisation du mouvement."

Les lecteurs de Vers Demain, en méditant cette documentation, seront moins surpris de voir que nous mentionnions la juiverie et la franc-maçonnerie, en connexion avec la haute finance, parmi les ennemis du peuple et de la civilisation chrétienne.

***

"Le ministre des Finances m'invite instamment à moins dépenser et à moins consommer afin d'acheter des obligations de guerre. Le ministre de l'Agriculture me conseille de dépenser davantage afin d'accroître la consommation. Que dois-je faire ?"

(M. Jacques, député créditiste fédéral, Débats, 1940, p. 2751.)

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