Le progrès serait-il donc un adversaire de l'humanité ? Faudrait-il donc renoncer à l'instruction, aux découvertes, fermer les universités et les laboratoires ?
Non, il ne faut pas supprimer le progrès, mais il faut le rendre libérateur de l'humanité. Pour cela, il faut simplement introduire des règlements de répartition et de distribution qui s'accordent avec le progrès.
Il faudrait une autre manière d'obtenir de l'argent, non pas liée à l'emploi comme le salaire, mais en rapport à la somme totale des produits sortant de la nature et de l'industrie... C'est cette deuxième source de revenu que les créditistes appellent le dividende national.
(voir l'article Un dividende national à tous )