Le plan des Financiers internationaux, en vue d'établir leur gouvernement mondial (et faire en sorte que tous les pays de la terre ne fassent plus qu'un seul pays) passe par la mise en place d'une carte d'identité obligatoire pour chaque citoyen de la planète. Toutes les transactions devront être effectuées avec cette carte, qui comportera une puce électronique pouvant contenir tous les renseignements financiers, médicaux, etc., de chaque individu. Selon le magazine Catholic Comments, bientôt il ne sera possible d'avoir un compte de banque que si on possède une telle "smart card" ou "carte intelligente". Tout cela confirmera clairement la prophétie de saint Jean dans le livre de l'Apocalypse (13, 16-17) : sans cette carte (la "marque de la Bête"), "personne ne pourra plus ni acheter ni vendre."
Le numéro de novembre 1996 de Bulletin Committee to Restore the Constitution (P.O. Box 986, Ft. Collins, CO 80522, U.S.A.), cite des extraits d'un récent livre de Texe Marrs, intitulé Project L.U.C.I.D. (publié par Living Truth Publishers, 1708 Patterson Road, Austin, Texas, 78733), qui dénonce justement ce plan des Financiers pour un contrôle mondial par la carte d'identité.
Ce project "L.U.C.I.D." (Logical, Universal Communications Interactive Databank en français, Banque de données universelle interactive), permettra de rassembler dans un seul ordinateur central tous les renseignements possibles sur chaque individu de la planète. Aux États-Unis, par exemple, ce projet réunira dans un seul dossier personnel les renseignements provenant du FBI, du Service de l'Immigration, de la CIA, du Département de l'Impôt et de centaines d'autres agences fédérales.
Cela fait des centaines d'années que des individus assoiffés de pouvoir rêvent d'installer un gouvernement mondial, mais il leur manquait un ingrédient pour rendre leur plan réalisable : la mise en place d'un réseau mondial d'ordinateurs, qui, en rendant obligatoire l'usage de la carte, établira un contrôle total sur la population du globe, et la réduira en esclavage. M. Marrs écrit que "ce système nécessitera l'usage obligatoire d'une Carte Biométrique, Universelle pour chaque citoyen de France, des États-Unis, de Grande-Bretagne, de l'Allemagne, de la Chine, du Brésil bref, de tous les pays du globe et que cette carte sera éventuellement remplacée par une micro-puce implantée sous la peau. Avec sa mémoire pouvant contenir 2000 pages de texte, sa possibilité de contenir un dossier complet de renseignements privés, et sa capacité de servir pour les achats individuels et les transactions financières, la carte d'identité universelle et son lien avec un réseau mondial d'ordinateurs signifieront inévitablement la fin de l'État-nation."
Pour appuyer ses dires, M. Marrs cite de nombreux documents démontrant l'existence d'une campagne mondiale pour l'établissement d'une carte d'identité obligatoire, plusieurs pays ayant récemment passé de telles lois pour rendre obligatoire l'usage de cette carte :
Pays-Bas : Une nouvelle loi a été passée, obligeant les citoyens à porter sur eux en tout temps une carte d'identité. Les renseignements contenus dans la carte comprennent le numéro de dossier d'impôt de l'individu, ses nom, adresse, et nationalité. Les personnes qui ne peuvent montrer leur carte d'identité sont immédiatement arrêtées et mises en prison. (Cité dans le numéro d'août-septembre 1995 du magazine hollandais Nexus.)
Singapour : Un programme obligatoire pour enregistrer tous les citoyens et émettre, pour chacun d'eux, une carte d'identité de haute technologie gravée au laser, fut complété en 1994. Selon le numéro d'octobre 1994 du Sunday Mag, de Sydney, en Australie, "la nouvelle carte d'identité permettra au gouvernement d'avoir à l'œil tous les citoyens. Cette publication rapporte aussi que la smart card (carte intelligente), de même format qu'une carte de crédit, comporte une photographie, les empreintes digitales, des détails personnels, et un code barres qui permet au gouvernement de lire en tout temps les renseignements contenus dans la carte."
Japon : Dans le journal Japan Times, en 1996, on pouvait lire : "Quoiqu'il existe une résistance féroce aux États-Unis contre l'émission par le gouvernement d'une carte d'identité pour chaque individu, un projet semblable est en train d'être réalisé avec succès par le gouvernement japonais. Des projets de loi seront présentés à la Diète (Parlement japonais) en 1997, prévoyant donner un numéro à chaque individu d'ici 1999. Ce numéro sera utilisé pour identifier quiconque pour les taxes, le vote, le contrôle du passeport, et plusieurs autres fonctions."
Canada : Le 13 mai 1997, alors que les conseillers de la cité de Toronto discutaient de l'opportunité de doter les bénéficiaires de l'aide sociale d'une carte d'identité avec leurs empreintes digitales (afin de pouvoir recevoir leurs chèques), le premier ministre ontarien Mike Harris laissait entendre que ce serait une bonne idée d'émettre une telle carte obligatoire avec empreinte digitale pour chacun des 11 millions d'habitants de la province, pour avoir accès à n'importe quel service offert par le gouvernement, surtout les soins de santé et l'aide sociale.
En janvier dernier au Québec, lors d'une commission parlementaire sur l'opportunité d'émettre une telle carte d'identité obligatoire pour chaque citoyen, qui grouperait dans un seul fichier tous les renseignements concernant un individu, le gouvernement en est venu à la conclusion qu'une telle carte n'était pas souhaitable et qu'elle constituait une trop grande menace contre la vie privée des citoyens, surtout après le témoignage de M. Clarence White, de la Commission d'accès à l'information, qui a établi qu'il existait déjà au Québec un véritable marché noir des renseignements personnels. Pour une somme variant de 25 $ à 120 $, n'importe quel individu peut avoir accès au dossier médical, fiscal, judiciaire, ou divers renseignements (même ceux provenant de l'ordinateur central de la police) sur n'importe qui au Québec. Ces renseignements sont fournis par des fonctionnaires moyennant rétribution "sous la table".
Australie : Selon l'édition du 11 juin 1994 du Sydney Morning Herald, la carte d'identité est en train de devenir obligatoire pour tous les Australiens. Le journal australien Melbourne Age rapporte que "les Australiens pourraient bientôt porter des bracelets incluant leur signature électronique, âge, détails sur leur compte de banque, et tout autre renseignement requis pour effectuer des transactions électroniques... Steve Orlawski, conseiller spécial du Département du Ministre de la Justice d'Australie, considère l'idée d'un bracelet comme étant simplement une forme plus commode des cartes intelligentes qui sont présentement développées... Il dit qu'une personne pourrait ainsi avoir le numéro de son dossier d'impôt, son numéro de carte médicale, son numéro de compte de banque, et n'importe quel autre renseignement." Si le bracelet électronique est adopté, deviendra-t-il simplement le précurseur de la micro-puce implantée dans la main ou sur le front ?
Thaïlande : Tous les citoyens de Thaïlande ont reçu, au cours des dernières années, une carte d'identité. Les renseignements contenus dans les cartes seront reliés à un ordinateur central, qui, selon un article du magazine Time du 24 juin 1991, est le plus grand de son genre, et aura enregistré plus de 65 millions de Thaïlandais d'ici 2006. Simon Davies, un expert australien sur la technologie des cartes d'identité, travaillant pour le groupe de défense des droits des citoyens Privacy International, dit que le programme thaïlandais est, potentiellement, « un des systèmes de surveillance les plus répressifs que le monde ait jamais connu. »
Grande-Bretagne : En 1994, agissant évidemment sur des ordres des Illuminati, le gouvernement du Premier ministre John Major a soudainement entrepris une campagne nationale pour amener le peuple anglais à accepter, d'ici l'an 2000, un réseau informatisé de carte d'identification. L'édition du 16 janvier 1995 du journal The Guardian rapportait qu'un "plan pour la première carte d'identité intelligente émise par le gouvernement britannique a été montré au cabinet, et que cette carte pourrait remplacer le permis de conduire, le passeport, le livret de retraite et la carte médicale de chaque individu."
États-Unis : Pour que le système L.U.C.I.D. fonctionne à l'échelle du globe, et qu'aucun pays ne puisse s'en échapper, il est essentiel que les États-Unis en fassent partie. Des sénateurs des deux principaux partis (Kay Bailey Hutchison, républicain du Texas, et Diane Feinstein, démocrate de Californie) ont présenté en 1996 un projet de loi (le bill 999) pour rendre obligatoire une carte d'identité nationale, liée à un réseau mondial d'ordinateurs. Selon le sénateur Feinstein, cette nouvelle carte comprendrait une micropuce, un code barres magnétique, une photographie, les empreintes digitales, plus une empreinte de la voix et de la rétine de l'œil."
Philippines : Au début de février 1997, l'agence de presse CNS (Catholic News Service) rapportait que selon le Cardinal Sin de Manille, la décision du Président philippin Fidel Ramos, par ordre administratif en janvier dernier, d'installer un système national de carte d'identité était "sinistre et immoral". Selon le cardinal, "il est immoral d'appliquer ce système sans le consentement informé et réfléchi des citoyens."