La FAO, est une agence de l'ONU (Organisation des Nations Unies). Dans son analyse sur la situation alimentaire mondiale dans les pays en voie de développement, elle relève « l'accroissement de la production alimentaire dans les pays en voie de développement », mais constate malheureusement que 800 millions d'hommes sont toujours sous-alimentés.
L'ONU elle-même reconnaît que sa lutte contre la pauvreté est un grand échec. Celui-ci se résume en peu de mots : la pauvreté extrême frappe plus d'un milliard trois cent millions d'êtres humains. Toutefois, comme le soulignait le Pape Jean-Paul II en commentant ce rapport, « la nourriture, l'assistance sanitaire, l'éducation, le travail ne constituent pas seulement des objectifs de développement ; ce sont des droits fondamentaux qui par malheur sont refusés à des millions d'êtres humains. » Avec sa conception actuelle des droits de l'homme et les ventilations budgétaires qui s'en suivent, l'ONU d'aujourd'hui ne peut être qu'une machine à fabriquer des pauvres, parce qu'on accorde plus d'importance au capital physique qu'au capital humain. (Mgr Michel Schooyans)
Et ce sera toujours ainsi tant et aussi longtemps qu'on ne pointera pas du doigt la vraie cause de cette misère qui est le système d'argent-dette des banquiers. Quand donc ouvrirons-nous les yeux sur le sujet ?
Les pays développés pourraient fournir en quantité de la nourriture aux pays sous-développés. Mais ce que les pays sous-développés réclament, ce n'est pas de la nourriture et d'autres produits, ils en ont dans leurs magasins ; mais c'est de l'argent pour acheter cette nourriture.
Les pays développés ne peuvent pas leur fournir de l'argent parce qu'ils en manquent eux-mêmes, ils fonctionnent avec le même système d'argent-dette des banquiers. Leurs monumentales dettes nationales dépassent de beaucoup la valeur de la richesse réelle de leur pays. La seule solution qui s'impose : effacer la dette nationale, elle a été payée plusieurs fois par les intérêts, et créer un système d'argent basé sur les richesses réelles de chaque pays, et enfin distribuer un dividende à tous et à chacun afin de permettre à tous les citoyens de se procurer au moins le minimum vital. C'est la seule manière d'arriver à combler la faim de ces 800 millions d'hommes femmes et enfants sous-alimentés.
"Corriger le système financier. Effacer les dettes publiques. Distribuer un dividende." Crions-le sans cesse, afin que cela entre dans la tête de ceux qui ont l'influence de faire changer vraiment les choses.
Crions-le par la distribution en grandes quantités de nos circulaires, Crions-le en abonnant tout le monde à Vers Demain, car seul Vers Demain a le courage de dénoncer l'imposture du système d'argent-dette des banquiers, cause de la mort de tant de nos frères et sœurs.