En Italie, la guerre contre les crucifix dans les écoles a été lancée par des musulmans. Le chef de la plus grande mosquée de l'Italie a demandé à un directeur d'école d'enlever tous les crucifix de l'édifice scolaire fréquenté par des catholiques et des enfants islamiques. Le directeur d'école a acquiescé à la demande du chef musulman, malgré l'opposition des parents catholiques. Ici et là, d'autres musulmans réclament que les crucifix soient enlevés des écoles où vont leurs enfants et ils font pression sur le gouvernement pour bannir les crucifix des écoles. Les Italiens majoritairement catholiques se sont levés en bloc pour garder les crucifix dans les écoles. Le gouvernement de l'Italie, sans doute manipulé par la Franc-Maçonnerie, est prêt à exterminer des écoles le symbole du Divin Crucifié. Nous savons que la société de demain sera ce que les écoles auront fait des enfants. Si l'islamisme remplace le catholicisme dans les écoles, l'Italie deviendra un pays islamique. Et on se servira de ces nouvelles générations musulmanes pour entreprendre des « guerres saintes » contre les catholiques qui ne voudront pas devenir musulmans.
De nombreux musulmans du nord de l'Afrique et de l'Est de l'Europe pénètrent illégalement en Italie par les ports de mer du sud du pays et ensuite, ils s'avancent vers le nord. Le gouvernement d'Italie ne réagit pas contre ces envahisseurs. Ils ont bâti des mosquées dans la ville même de Rome, capitale du catholicisme. Ils sont en train d'implanter l'islamisme en Italie avec leurs mauvaises moeurs, la polygamie. Et, attention, quand ils viennent en force dans un pays, ils organisent des « guerres saintes » pour exterminer les catholiques. Récemment, on a découvert dix-sept terroristes musulmans en Italie.
Le Cardinal Giacomo Biffi, archevêque de Bologne, âgé de 74 ans, s'est élevé contre cette invasion musulmane. En 2001, il a demandé au gouvernement italien de cesser d'accorder des visas aux musulmans. Dans une lettre pastorale pour alerter les autorités et le peuple italien, il a écrit :
« C'est une bataille pour l'âme de l'Europe, soit que l'Europe redécouvre ses racines chrétiennes, soit qu'elle adhère à l'islamisme. »
Pour combattre l'invasion des musulmans, les gouvernements de l'Italie, de la France, du Québec ou d'ailleurs doivent cesser de les accueillir à bras ouverts. "Pour redécouvrir leurs racines chrétiennes", les nations catholiques doivent garder les crucifix dans les écoles, comme l'a fait l'Italie, et doivent établir des systèmes scolaires foncièrement catholiques. Dans son encyclique sur l'éducation chrétienne, le Pape Pie XI a écrit :
"Le seul fait qu'il s'y donne une instruction religieuse (souvent avec trop de parcimonie) ne suffit pas pour qu'une école puisse être jugée conforme aux droits de l'Église et de la famille chrétienne, et digne d'être fréquentée par les enfants catholiques. Pour cette conformité, il est nécessaire que tout l'enseignement, toute l'ordonnance de l'école, personnel, programme et livres, en tout genre de discipline, soient régis par un esprit vraiment chrétien, sous la direction et la maternelle vigilance de l'Église, de telle façon que la religion soit le fondement et le couronnement de tout l'enseignement à tous les degrés, non seulement élémentaire, mais moyen et supérieur... »"
Le 29 février 1988, lors d'une rencontre avec des évêques, Sa sainteté le Pape Jean-Paul || confirmait les paroles du Pape Pie XI :
"Le but des écoles catholiques est de « créer une atmosphère animée d'un esprit évangélique de liberté et de charité, d'aider les adolescents à développer leur personnalité en faisant croître cette créature nouvelle qu'ils sont devenus par le baptême ; et enfin, d'ordonner toute la culture humaine à l'annonce du salut pour éclairer par la foi la connaissance que les élèves acquièrent du monde, de la vie et de l'homme », (Gravissimum Educationis, 8). Ces buts ne peuvent être réalisés que par un témoignage vivant de la foi catholique de la part des parents, des enseignants, des prêtres religieux et de tous ceux qui sont associés à l'école catholique."
Nous prions avec ferveur pour la conversion de la province de Québec qui a accepté l'extermination du système confessionnel des écoles. Les catholiques de bonne volonté doivent se lever pour réclamer à cor et à cri les crucifix dans les écoles, l'abolition du Ministère de l'Éducation avec ses écoles athées et le rétablissement du Conseil de l'Instruction publique avec des écoles catholiques comme autrefois, dirigées par les évêques.
Nous faisons appel à nos évêques pour fonder des écoles. Les parents les supplient. Il faut des écoles catholiques pour former de nouvelles générations catholiques. Autrement les religions païennes, telles que l'islamisme, s'implanteront dans notre pays. Sans l'enseignement du catholicisme, sans l'éducation chrétienne de la jeunesse, la société court vers sa perdition, la révolution sévit de toute part, le paganisme prend racine. Le 29 février 1988, le Pape Jean-Paul Il disait encore :
"Les évêques diocésains ont particulièrement le droit et le devoir de surveiller et d'inspecter les écoles catholiques de leur territoire et de donner toutes les directives concernant la réglementation générale des écoles.
"Il est essentiel que les évêques prennent en main avec autorité la direction de cette phase de réorganisation, afin d'assurer l'éducation catholique au plus grand nombre possible de jeunes membres de l'Église et afin de garantir la justice et la sagesse dans la situation et la gestion des écoles et la nomination des professeurs."