L'espoir qui reste

le lundi, 01 décembre 1941. Dans Réflexions

Un de nos I.A.P. de Québec, écrit :

"J'ai souffert de privations de choses nécessaires pour moi et ma famille, depuis dix ans. Je porte des habits rapiécés même le dimanche, malgré que j'aie été comptable et professeur.

"Je ne sais comment vous remercier d'avoir allumé cette flamme nouvelle, qui m'encourage et me redonne le goût de vivre et d'espérer en des jours meilleurs.

"Excusez si je vous écris sur une feuille de cahier d'école de mes enfants — j'ai voulu ménager le papier à lettre.

"Je serai heureux, toujours heureux, de vous rendre service — car ça presse... Il y a tant de monde qui souffre, surtout moralement."

G.-A. TARDIF

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