Si le gouvernement, au lieu des banques, imprimait, créait l'argent pour le pays
Finis dettes, déficits, taxes faillites, chômage
Finis rapports insupportables à chaque gouvernement
Chaque Canadien recevrait, sans enquête, un dividende de $800 par mois
Par Gérard Mercier
Le Crédit Social en 1995 !
Bonne et heureuse année ! En 1995, il faut gagner le gouvernement fédéral à créer l'argent pour le pays. Je vous souhaite santé, succès en tout, surtout dans votre apostolat créditiste, et le Paradis à la fin de vos jours !
Décidez d'atteindre votre objectif d'abonnement pour l'an 1995. Monsieur et madame Mark Lawyer disent : "Il nous faut la réalisation de notre beau Crédit Social avant l'an 1996 !" Je suis bien de leur avis. Et monsieur et madame Lawyer ont élevé leur objectif d'abonnements de 6,000 à 7,500 pour cette année. Ils prennent des journées de 32-44-56-54. Bravo ! C'est la manière directe pour arriver à la réalisation de notre bonne solution, le Crédit Social. Si chacun de vous décidait d'atteindre son objectif qu'il s'est fixé pour l'abonnement, nous gagnerions tous les gouvernements. Trop de Créditistes attendent. Ainsi, le mal continue à s'aggraver.
Le petit groupe qui bouge fait des merveilles. En novembre, vous avez pris des semaines de 1,239 - 1,289 - 1,239 et 1,393 ! Du jamais vu depuis bien longtemps. Toi qui regardes, Créditiste, nous avons besoin de ton aide. Autrement, c'est lourd à porter.
Monsieur et madame Mark Lawyer, depuis septembre : 1,509 abonnements. Monsieur et madame Paul-Emile Julien, 1,400 abonnements. Jean-Pierre Richard, 1,372 abonnements. Et tous les autres Plein-Temps du centre, avec les Plein-Temps-Locaux qui font l'effort total, c'est bien merveilleux !
Devant la triste situation de l'effort total que fait Lucifer pour gagner le combat de dominer sur notre Divin Rédempteur, il me semble que tout bon Créditiste, en cette année décisive, va prendre la résolution de vivre en vrai Créditiste. Son gagne-pain, et rien, rien d'autre chose que de répandre la belle vérité du Crédit Social. Vers Demain et Michael dans toutes les maisons. Et notre fameuse circulaire à l'honorable Jean Chrétien ! "L'heure du Crédit Social est arrivée". Cette circulaire ira dans les 10 millions de portes du Canada. Créditistes, il faut rompre avec la vie de tout le monde. Sans nous en apercevoir, nous sommes encore terriblement influencés par le courant de la vie moderne. Satan, dehors de notre maison ! Ce Satan, vous le connaissez, il fait le programme de tous et chacun. De même que la radio, les journaux, et les nouvelles qu'ils donnent. De même le sport. Tout ça c'est autant de moyens pour nous tenir dans le monde. Jésus nous dit : "Ne soyez pas de ce monde."
Créditiste, vous êtes des choisis de Dieu pour une grande mission, la même que celle que Jésus a donnée quand il a chassé les vendeurs du temple en leur disant : "Vous avez fait de mon temple une caverne de voleurs !" Ces vendeurs étaient des changeurs d'argent, comme nos banquiers d'aujourd'hui. Créditistes, vos sacrifices, librement et humblement consentis, sont d'une grande valeur. C'est cela que nous dit le bon Frère Mariste, Omer Drouin, de Château Richer : "Il n'y a que la Force de Dieu pour lancer des personnes à un pareil don de soi-même. C'est bien grand tous les sacrifices que vous faites. Il n'y en a pas beaucoup dans le monde d'aujourd'hui. Il faut qu'ils prennent des vacances. La croisade que vous faites, quel renoncement de vous-mêmes ! Quelles fatigues humblement consenties et bénévolement pour l'amour de Dieu, de votre prochain, de votre patrie, et de vos beaux petits enfants. Elle est grande la vérité créditiste. Vous travaillez à chasser les voleurs du pays qui ont fait de nos pays des cavernes de voleurs. Vous êtes des ardents chevaliers pour le triomphe de la Justice !"
Créditistes, après votre gagne-pain, mettez toutes vos énergies pour répandre votre fameux journal Vers Demain et Michael. Il faut redevenir de vrais Créditistes, comme dans les premières années du Mouvement ! Vous donniez toutes les fins de semaine à la croisade. Vous parcouriez toutes les paroisses environnantes. Les portes manquaient devant les vaillants Bérets Blancs que vous étiez. Aussi, les politiciens furent obligés d'établir toutes sortes de lois sociales pour freiner notre marche. Cette fois-ci, ils seront obligés de reprendre leur droit de créer l'argent pour le pays. Puis, ils nous donneront notre beau dividende de $800 par tête, par mois. Le dividende en produits de toutes sortes est là qui attend, même on détruit ces produits. Combien de chômeurs parce que les produits ne se vendent pas à cause du manque d'argent ! Quelle bêtise !
Il faut imiter les Lawyer, les Julien, les Gingras Simone d'Ottawa et Roger de Toronto, Evelyne Clément et d'autres. Vos Plein-Temps sont totalement donnés à la cause, sans aucun sou de salaire. Nous pourrions tout de suite avoir 50 Plein-Temps-Locaux, et alors ce serait des semaines de 2,000, 3,000 abonnements. Puis viendraient s'ajouter d'autres Plein-Temps et d'autres Plein-Temps-Locaux. Tout cela dépend de toi, Créditiste, qui hésites à te lancer. Si vous le voulez, à la Sainte Messe, tous ensemble, à l'élévation de notre puissant Rédempteur, qui est vraiment présent, nous allons Lui demander de faire de chacun de nous, un apôtre solide de Vers Demain-Michael. Tout pour notre Œuvre si importante et si urgente ! Convertissons-nous pour convertir les autres et pour aider les pauvres.
Récession maudite ! Elle ne vient pas de Dieu. Y a-t-il une plus grande bêtise que celle d'être noyés de produits et de manquer de chiffres-argent pour se procurer ces produits ? Cela prend de grands instruits et de grands finfins pour tenir le monde dans de pareilles niaiseries ? Être capable de produire et n'être pas capable de faire la comptabilité de ces produits. Pas capable de faire les chiffres, de faire l'argent. En plus, les gouvernements coupent dans les revenus des citoyens, ils coupent dans les services, etc. C'est diabolique !
Mon Dieu, qui êtes si miséricordieux, si bon, débarrassez-nous de tous ces à plats-ventre devant les vendeurs du Temple.
Décidons, chers Créditistes, de donner le meilleur de nous-mêmes. C'est urgent et notre grande cause en vaut la peine.
C'est effrayant comme Satan s'impose partout. Les guerres ne viennent pas de Dieu. Les crises artificielles non plus. Les faillites de cultivateurs, d'industriels, pour créer la rareté, c'est tout du diabolique ! On ferme des étages d'hôpitaux devant les malades qui croupissent dans les corridors d'hôpitaux. Ces corridors remplis de malades sont hors la loi. La loi interdit d'obstruer les corridors. On préfère respecter les vendeurs du Temple et sacrifier les malades. Les
jeux olympiques ne viennent pas de Dieu. Amusements, amusements pour mieux conditionner le monde. Que de milliards sont mis dans les jeux. C'est le peuple qui paie pour se faire chloroformer.
Dans les écoles, des professeurs sont payés de gros salaires pour lancer nos enfants dans le sport. C'est encore le pauvre peuple qui paye. Pauvre peuple, où est ton élite ?
A la radio à Montréal, un commentateur, à une ligne ouverte, lance sur les ondes deux blasphèmes contre l'Evangile du Christ. Personne ne proteste. Nos grands défenseurs disent : "Ça va bien. c'est une mauvaise passée, ça reviendra." Et eux-mêmes continuent d'aller en Floride. Les bonnes gens se disent les uns aux autres ; "Où sommes-nous rendus ? Quand est-ce que cela va arrêter ?"
Bérets Blancs, comptez sur Dieu et sur vous-mêmes. À Medjugorje, notre Maman Céleste nous dit : "Priez le Rosaire, convertissez-vous et jeûnez."
La Croisade de porte en porte par nos apôtres créditistes, qui répandent la belle lumière du Crédit Social, ces sacrifices réjouissent notre Maman Céleste. Vous priez dans les maisons. Vous vous convertissez. Et vous jeûnez dans votre Croisade. Tout y est dans le porte en porte. Créditistes, vous êtes l'espérance du pays, et même du monde entier. Votre journal, vos circulaires, circulent dans tous les pays. Ils sont traduits dans diverses langues par ceux qui les reçoivent. Tous les jours, nous apprenons que tels et tels articles ont été traduits dans telle langue. Vers Demain et Michael sont devenus un fort mondial. Ça va bientôt éclater mondialement.
Notre Saint-Père Jean-Paul Il est bien encourageant. Nous avons reçu de belles lettres de Pologne et du Vatican. Un évêque, secrétaire personnel de Jean-Paul II, a exprimé, à Mgr Kraszewski, son approbation chaleureuse pour le livre de Louis Even, "Sous le Signe de l'Abondance", traduit en polonais.
Vers Demain est le seul journal qui dit la vérité totale. Il faut des Créditistes pour le répandre. Combien de bonnes associations, groupes, journaux, qui ont de bonnes idées, mais quand il s'agit d'appliquer le remède pour combattre les vendeurs du Temple que sont les financiers internationaux d'aujourd'hui, ces informateurs s'arrêtent là et même ils peuvent décrocher une flèche contre les courageux Bérets Blancs. Ils préfèrent ne pas déranger Lucifer. Notre-Seigneur, Lui, avait un fouet pour chasser les vendeurs du Temple.
Créditistes, un autre point à enregistrer. I faut se mettre dans la tête que nous pouvons gagner si nous éclairons tout le monde avec la lumière du Crédit Social. Ça peut se faire en peu de temps. Vous avez gagné le monde à dire que les taxes doivent disparaître, quand alors, ils pensaient qu'il en fallait des taxes. Ils ont changé de paroles. Bientôt, vous aurez gagné tout le monde à crier avec vous qu'il faut gagner le gouvernement à reprendre son droit de créer l'argent pour le pays et de cesser de nous endetter. A l'heure qu'il est, plusieurs femmes crient : "Qu'est-ce que le gouvernement attend pour faire son argent ?"
Nous ferons, n'est-ce-pas, l'impossible pour abonner tout le monde à Vers Demain ? Vous auriez aimé entendre Alyre Richard, Mark Lawyer, madame Lawyer et les autres. De vrais apôtres, ils donnent tout à la cause, effort suprême. Madame Lawyer a bien dit avec conviction qu'elle aimait faire le porte en porte, il y a des sacrifices, mais il y a de la joie à faire du bien à nos frères, ils ont tellement besoin de notre lumière et de notre exemple d'apôtres de la vérité et de la justice. Elle demande l'aide de monsieur Even et elle a de grands résultats. Monsieur et madame Lawyer disent : "Nous ne manquerons plus une seule assemblée du mois." Ils habitent à plus de 600 milles de Rougemont. Ils comprennent que c'est très important de se rencontrer. Soyons-en convaincus nous aussi.
Félicitations à madame Henri-Louis Rodrigue, de St-Georges de Beauce, et à ses aides précieuses pour organiser un plein autobus chaque mois pour venir à l'assemblée de Rougemont. Félicitations à tous ceux qui remplissent l'autobus, payant les frais de transport. Tous ces sacrifices mènent à la victoire.
J'ai vu quelque chose de beau et de bien encourageant, l'autre jour à Québec. Je peux vous les nommer par leurs noms. C'étaient les enfants de M. et Mme Guy Rodrigue, de M. et Mme Luc Rodrigue, de Beauce, de M. et Mme Alain Brodeur, de St-Odilon, de M. et Mme Michel Couture, de Québec. Parmi tous ces jeunes de 9-10-11-12 ans, il y avait les mamans, et des jeunes filles bien habillées pour faire face au vent, au froid et pour se battre pour la distribution des circulaires sur la ville de Québec. Leurs visages nous font penser à Jeanne d'Arc au combat pour sauver le pays et leurs beaux petits enfants. Parmi eux, des pères de famille, des jeunes et des vieux. C'est bien beau de voir les mamans avec tous ces jeunes de 9-10-11-12 ans qui portent fièrement leurs beaux bérets blancs. Ils sont tellement actifs, grouillants, ces tout petits, qu'ils paraissent être toute une armée.
Je suis arrivé à Québec venant de Rougemont avec Réjean Lefebvre, en mini-bus rempli de 30,000 circulaires de 16 pages. En 15 minutes, les jeunes avaient vidé tout le mini-bus, et ils étaient prêts à partir pour la distribution. En deux, trois sorties, ils ont mis 30,000 circulaires dans les portes de la ville. Et ils sont bien encouragés pour finir de la couvrir. Ils se sont acheté de petits paniers en broche, avec roues, pour transporter leurs circulaires, afin de n'être pas obligés de retourner à l'automobile trop souvent pour s'approvisionner. À midi, tous retournent au lieu de départ, chez madame Couture, pour manger leurs sandwiches que chacun a apportés. Notre bien admirable et généreuse madame Réal Couture leur sert à chacun une bonne soupe chaude et un café, afin de stimuler tout le bataillon. C'est de quoi d'exceptionnel à voir, capable de mobiliser les forces du Ciel. Michel Couture et Guy Rodrigue dirigent d'une façon admirable cette équipe d'une vingtaine de Pèlerins.
Les équipes de Saint-Jean Port Joli sont du même calibre. Elles sont allées faire la distribution de circulaires sur la ville de Rivière-du-Loup.
Même chose sur la ville de Sherbrooke. Luc Audet, 21 ans, dirige l'équipe des jeunes avec les mamans, les grand'mères et les hommes. Ils ont couvert le tiers de la ville et ils sont encouragés pour couvrir toute la ville.
A Magog, madame Bertrand Gaouette avec ses deux garçons a donné 50 heures pour la distribution de circulaires, pendant que son mari était à la croisade dans les Maritimes.
C'est ainsi un peu partout à travers le pays. Il se produit un grand réveil dans l'Ouest par les circulaires et par les tournées de Jean-Pierre Richard. Félicitations à tous, et en route pour 10 millions de cette circulaire de 16 pages dans toutes les portes du Canada. Ce formidable travail en plus de nos courageux et bien héroïques abonneurs à Vers Demain et Michael remporteront la victoire. Pour imprimer nos circulaires, nous avons commandé 500 tonnes de papier dont le prix est monté à $983 avec les taxes ; et ce prix va encore remonter en avril. Les financiers ragent. Allons-y, les gars, avec saint Michel, votre précieux apostolat, vos prières et votre générosité pour payer !
A Tracy, à St-Joseph de Sorel et à Sorel, Rolland Joyal, un vieux Créditiste, bien bâti, qui en impose par sa détermination créditiste et par son physique, il y va tout bonnement avec son sourire et son courage pour tout rencontrer, les autorités de toutes sortes, les révérends Pères, polices, centres d'achats, stationnement d'hôpitaux. Quelqu'un l'apostrophe et lui demande : "Qu'est-ce que tu fais là ?" - Joyal lui dit : "Lis-moi cela", et il lui donne une circulaire. Il éclate de rire et il continue son chemin. Toutes ces villes-là vont y passer. Il dit :"J'ai beaucoup de plaisir à distribuer mes circulaires." | tient à faire cet ouvrage lui-même, en même temps il parle aux gens, le député y goûte en passant. Au congrès des Péquistes, monsieur Joyal est allé leur passer la circulaire contre la séparation. Il n'y a pas de problèmes pour lui. Il est chez lui. Un point c'est tout. Il dit : "Après, je ferai la croisade dans toutes les portes de ces villes." Il trouve que c'est le meilleur temps pour nos circulaires. Tout le monde a des moments pour lire. C'est la grève du baseball et du hockey.
De l'autre côté du fleuve, un autre vieux Créditiste déterminé Roger Tardif, des Trois-Rivières, qui s'est finalement décidé à attaquer pour prendre de l'abonnement à l'occasion et à la croisade. A l'occasion, c'est 5 abonnements, 4 abonnements, 7 abonnements. Henri Bussière s'est aussi lancé à la croisade dans son Cap-de-la-Madeleine. Nos bons vieux Créditistes doivent casser cette hésitation et se remettre à l'abonnement. Ils doivent redevenir des Créditistes prêts à tout pour remporter le morceau. Créditistes, c'est votre vocation, votre responsabilité.
Le miracle va venir. Bientôt, tout le monde sera avec nous pour crier "Gouvernement, fais ton argent". Les gouvernements qu'est-ce qu'ils ont l'air avec leur coupe ici, coupe là, il faut qu'ils cessent de niaiser. Ils ont un problème de manque d'argent. Un enfant de 10 ans leur dirait : "Faites-en".
De l'Etat du Massachusetts, Etats-Unis, messieurs Barresi et Sacco sont venus chercher 50,000 circulaires en nous apportant 76 abonnements et leurs généreuses souscriptions. Ces deux-là, avec leurs aides, depuis au-delà de 15 ans, ils mettent chaque année 300,000 à 400,000 circulaires sur leur ville de Boston.
Henri-Louis Blais, dans l'Etat du Connecticut, sort régulièrement à la croisade toutes les semaines. Il écrit : "Le travail que nous faisons pour Vers Demain-Michael est une nécessité Capitale pour notre Salut Eternel. Nous ne pouvons pas reculer. Nous en savons trop. II nous faut foncer de l'avant avec vous autres dans la belle famille de Vers Demain-Michael. Bonjour à tous. Henri-Louis."
Holyoke, Springfield, Lowell, Mass., Yves Jacques avec Marie-Anne Jacques, Raymond Boudreau, Robert Lambert, 62 abonnements.
Saskatchewan, madame Anne Geenen, 6 abonnements. Philippe Geransky, 12 abonnements.
Ron Gostick, Alberta, envoie une généreuse souscription. Il demande 100 copies du journal Michael du numéro de novembre-décembre. Alberta : Lucien Parenteau avec madame Parenteau, et leurs deux enfants, Philippe et Lucie, chaque semaine : 38-42-54 abonnements. Bravo ! Irène Côté, sœur de Lucien Parenteau, 20 abonnements.
Pierre Marchildon et Melvin Sickler, avec leurs vaillants apôtres, à Toronto, Cambridge, Windsor, près de 1000 abonnements dans le mois.
Voici quelque chose de rare : Roger Gingras, Toronto, dans 15 années de suite, il s'est classé "Colonel" avec au moins 1,000 abonnements dans chaque année. Quel exemple !
Gérard Migneault, avec Albert Larabie, 80 ans : 100 abonnements et $642. Avec Albert Beaulieu, 88 ans, 3 jours de 20 abonnements, 71 abonnements. Gérard Migneault, dans son territoire, avec ses bons apôtres, 712 abonnements dans le mois.
Paul-Emile Julien a écrit deux fameuses lettres au Premier Ministre du Canada, Jean Chrétien, et à Bob Rae, Premier Ministre de l'Ontario.
Léola Albert avec son frère Armand, Caraquet, N.B., font la croisade régulièrement : 34- 40-64 abonnements.
Anne Bouchard et madame Monique Simard sortent à la croisade toutes les fins de semaine dans leur région du Saguenay. Ces deux dames, avec Yvette Poirier, Plein-Temps, présentement, font un assaut sur les villes du Lac St-Jean.
Le conteneur d'un million deux cents mille circulaires est arrivé en France-Belgique. Tous nos apôtres de ces pays bougent de plus en plus. Madame Thérèse Gauthier, Toulon, est courageuse et elle accomplit une bonne besogne. Elle envoie 15 abonnements en plus de distribuer ses circulaires. En Suisse, madame Dominique Descloux distribue aussi des circulaires avec ardeur. Nous avons aussi des Pèlerins qui en distribuent en Allemagne.
Les dames et les messieurs Plein-Temps, de Rougemont, avec nos apôtres locaux, prennent environ 426-436 abonnements, chaque semaine. Bientôt, ce sera 500 abonnements. Les dames disent 80 dizaines de chapelet dans leur porte en porte et elles font signer 653 personnes contre les taxes. Les messieurs, 20 dizaines, 200 signatures. Marcel Lefebvre et Réjean Lefebvre arrivent toujours avec pas moins de 30 abonnements. Cela aide l'équipe des messieurs.
Prions pour que monsieur M. Rinaldo de Vancouver vende sa maison. Il pense sérieusement à devenir Plein-Temps.
La révérende Mère Marie de toutes Grâces a mis sa maison de 40 chambres en vente, et elle compte là-dessus pour nous aider à répandre des 10 millions de circulaires dans le Canada. Les dépenses de papier, d'encre, timbres, etc. dépasseront le million de dollars. Ça en prend beaucoup des $1,000, $5,000 pour faire un million.
De grandes apôtres, recluses maintenant, souffrent fort pour appuyer ceux de la route. Nos recluses sont madame Solange Fessart, Beauvais, France, et Sœur Marie de Toutes Grâces, Lévis, P.Q. Elles prient pour que notre directrice soit encore longtemps en charge de Vers Demain, et elles prient pour tous nos vaillants apôtres. Toutes deux disent : "Le journal Vers Demain et les circulaires sont tellement bien faits. On voit que les anges et monsieur Even y voient." Un juge a dit à notre directrice : "Je vous considère comme ma mère."
Le révérend Frère Omer Drouin, Château-Richer, écrit : "Vers Demain est toujours formidable. Les Frères d'ici sont tout changés, ils s'arrachent Vers Demain des mains les uns des autres." Ça change ainsi un peu partout.
Une dame qui réside aux Philippines, une Américaine, passe une de ses maisons à notre Plein-Temps Eric Encina pour son travail pour les Pèlerins de saint Michel. Eric en est bien enthousiaste et il ouvre un centre, un bureau, pour l'œuvre de Vers Demain.
Un Slovaque, de Toronto, a trouvé quelqu'un dans son pays, la Slovaquie, pour traduire des articles de Vers Demain dans leur langue. Ils ont commencé à les publier.
Le journal Toronto Star écrit qu'il y a un million de personnes qui n'ont pas payé leur impôt sur le revenu pendant l'année. Pour une valeur de sept milliards de dollars, soient 7,000 millions. Ça va ! César qui prive tout le monde va apprendre à se serrer la ceinture lui aussi.
Encore le Star de Toronto annonce en première page que le Fonds Monétaire International et la Banque Mondiale exigent que le Canada paie sa dette immédiatement. Le Ministre des Finances d'Ottawa, Paul Martin, leur répond qu'en conscience il ne peut couper dans les pensions de vieillesse, les allocations familiales, les lois sociales. Il préfère plutôt démissionner. Ça va, chers Créditistes !
Redoublons d'ardeur. L'idée créditiste pénè tre dans le peuple et même dans les hautes sphères. Nous ne saurons jamais toutes les discussions qui se produisent entre professionnels de toutes sortes, concernant le Crédit Social et que le gouvernement crée l'argent pour le pays. Beaucoup de gouvernements dans plusieurs pays connaissent notre solution créditiste. Ils reçoivent Vers Demain, Michael, depuis plusieurs années.
Créditistes, attention ! les financiers sont énervés. Les démons aussi.
Soyez avertis. Vous allez peut-être rencontrer des gens instruits qui iront même vous visiter pour vous donner des conseils afin d'avancer la cause. Ils vont en avoir des moyens ! des méthodes pour faire venir plus vite le Crédit Social et ils mettront la discorde parmi vous. Plus le Mouvement va prendre de l'ampleur, plus les finfins vont aller vous voir pour trouver le tour de vous diviser, de vous faire discuter entre vous. C'est l'œuvre de Satan.
Un jour Notre-Seigneur a guéri une femme qui avait le cou bien courbé. Il a fait cette guérison le jour du Sabbat. Alors, les docteurs de la loi lui ont reproché d'avoir fait cela le jour du Sabbat, quand il avait six jours pour le faire en semaine. Jésus leur a répondu : "Hypocrites !"
Créditistes, ne perdez pas une minute avec ces parasites. Vous vous détruisez en les écoutant. La vraie réponse : "Nous serons toujours plus ardents que jamais dans nos méthodes merveilleuses !"
Le secret : Toi, vrai Créditiste, tu demandes au Bon Dieu d'avoir, comme les apôtres du Père Kolbe, ce Polonais, d'avoir la mystique de l'abonnement. Attaquons tout le monde avec une conviction pleine de charité pour les abonner à Vers Demain, pour le salut de nos pays. Plusieurs vieux Créditistes commencent maintenant à abonner autour d'eux. Bravo !
Succès à vous tous ! Donnez-moi de vos nouvelles.
Gérard Mercier, directeur